1. Pause pipi


    Datte: 25/03/2020, Catégories: fh, couple, forêt, voyage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, ffontaine, intermast, Oral fdanus, uro, amourpass, nature,

    ... colorants, Nicole était une véritable blonde ; elle en avait la peau laiteuse, très blanche, que le soleil rougissait invariablement chaque été. Ses yeux immenses brillaient d’un éclat particulier, comme deux astres singulièrement lumineux ; de couleur noisette, ils changeaient de teinte, allant du mordoré au vert ténébreux suivant l’humeur du moment. Son nez légèrement retroussé lui donnait un air de gamine espiègle, ce qu’elle était toujours un peu malgré son âge. Sa bouche, aux lèvres longues et épaisses, lui apportait un charme sensuel particulier ; et lorsqu’elle souriait, ses dents, petites et parfaitement alignées, apparaissaient pareilles à deux rangées de perles nacrées. Enfin, ses yeux légèrement allongés et ses pommettes hautes et saillantes révélaient quelques aïeuls venus des plaines de l’Europe de l’Est. Guillaume ne put s’empêcher de songer ému combien il aimait sa femme, même si au cours des vingt années qui venaient de s’écouler depuis leur mariage, il lui était arrivé de la tromper deux ou trois fois, lors de rencontres fortuites. Des erreurs de parcours, qui jamais n’avaient mis en péril l’amour qu’il portait à celle qui lui avait offert tout son amour, et qui lui avait donné deux magnifiques enfants. Comme ils longeaient l’orée d’une forêt, Guillaume aperçut un coin dégagé sur le bord de la route, pouvant éventuellement servir de parking. Jugeant le coin suffisamment tranquille, il ralentit progressivement la voiture, tandis que Nicole, dont l’envie ...
    ... d’uriner devenait pressante, serrait désespérément les cuisses pour bloquer son sphincter, ne voulant pas tacher l’entrejambe de sa culotte blanche. Cherchant à se garer, Guillaume remarqua un endroit déboisé d’où partait un chemin de terre, qui s’enfonçait sous les arbres. Jugeant l’endroit parfait pour que son épouse puisse s’isoler et satisfaire son besoin naturel, il stoppa la 407. Fébrilement, Nicole fouilla dans la boîte à gants pour en sortir un paquet de mouchoirs en papier, qu’elle garda en main, puis elle quitta promptement la voiture. Une fois dehors, elle fut enveloppée par les bruits de la nature : le vent soufflant dans les hautes branches des chênes et des bouleaux, le cri strident de plusieurs merles dérangés dans leur recherche de nourriture, et le jacassement de deux ou trois pies furieuses de cette intrusion dans leur domaine. Haut dans le ciel bleu, les hirondelles et les martinets zébraient l’azur, tandis que les bosquets bruissaient des vols des mésanges et pinsons, à la recherche de graines. — Viens avec moi, demanda-t-elle à son mari.— Tu as peur de rencontrer un satyre ? plaisanta Guillaume en descendant de voiture, obtempérant amusé à la demande de son épouse. Ils s’engagèrent dans l’étroit sentier. Nicole, à la recherche d’un endroit discret pour pouvoir enfin se vider la vessie, devança rapidement son mari de quelques pas. Suivant nonchalamment sa femme, Guillaume laissa errer son regard sur le doux balancement des hanches de cette dernière, s’attardant ...
«1234...16»