1. Anecdote


    Datte: 25/03/2020, Catégories: Première fois

    ... (par quel côté ? Mystère) qu’il a vu mes testicules pendre entre la raie de mon cul, et que donc il ne pouvait pas laisser passer de si belles fesses. Aussitôt je comprends et lui dit que je n’aime que les filles et que je ne suis qu’un naturiste, rien de plus. Je m’apprête à partir lorsqu’il me retient par le bras, mais en douceur. Et il me dit : « acceptes-tu que je te donne de l’argent et que je me branle devant toi en te matant et en matant ta belle queue et tes belles fesses ? ». Je suis très surpris. Sans voie. Mais mon sexe lui ne reste pas indifférent. A mon insu, il a pris un peu de volume. Pas une érection franche et verticale, mais une consistance qui n’est plus du tout molle. Lui constate tout de suite mon début d’érection. Et me dit que je dois forcément aimer cela. Que donc il n’a pas besoin de me payer car je vais aimer qu’il se branle devant moi ! Rassuré par le ton de sa voie, je lui explique que les hommes ne m’attirent pas, mais c’est le fait d’être payé qui m’excite. L’idée d’être considéré comme de la marchandise consommable, comme une pute au masculin. Il comprend, et me glisse un billet dans la main. Tout en continuant à me tenir par la main, avec le billet dedans, il m’entraine vers un petit renfoncement du chemin, me place au fond de ce renfoncement et m’indique de poser mon billet (50 francs) dans mon slip et le ...
    ... tout par terre. Ainsi dit-il je pourrai me toucher pendant qu’il se masturbe devant moi. Il commence donc à se masturber. C’est alors que deux autres hommes surgissent. Dans un premier temps « mon client » tente de les faire partir, mais ils s’incrustent. Me voilà donc avec trois hommes qui ont le sexe à l’air en érection et mon client qui se branle en touchant de temps à autre le sexe des deux autres. Je reste immobile. Subjugué par cette impudeur totale. Bientôt mon client éjacule et son jet puissant fini sur ma jambe gauche. Sans aucun dégout, je savoure presque la lente descente de ce sperme qui n’est pas le mien, le long de ma cuisse. Ils me trouvent tous les trois sale et ridicule ainsi et sans me demander mon avis, deux des trois hommes me pissent sur la jambe « pour me laver ». Aussitôt fait. Leurs vessies vidées, ils disparaissent comme un éclair. Je reste complètement bloqué ! Ensuite, sans remettre mon maillot de bain, par les bois, je regagne la plage naturiste et espérant pouvoir me rincer dans l’eau de mer sans que mes parents ne constatent l’odeur d’urine. Et par chance ils ont quitté la plage croyant par ma longue absence que je ne reviendrai plus. J’ai pu me rincer tranquillement et rentrer au village . . . . avec mon maillot de bain et mon billet de banque. C’était ma première expérience, et j’en garde un excellent souvenir. 
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