Une fête en Bretagne - Histoires de Sexe

Une fête en Bretagne

... complètement en offrant à ma vue sa petite toison blonde taillée en triangle. Son regard glissa vers mon slip. Il n’était besoin d’être devin pour comprendre dans quel émoi j’étais. — Ben dis donc, mon pauvre Marc, on dirait que ça t’a mis dans des états pas possibles.— Oui, on le serait à moins. Tu peux faire quelque chose pour y remédier ?— Faut voir. Si tu es très gentil… peut-être, dit-elle, malicieuse.— Je t’ai déjà promis que je rachèterai un maillot de bain, et puis je viens de te donner du plaisir, non ?— Ah ! oui. Bon, dans ce cas, alors, je ne peux pas te refuser de t’en donner aussi. Je sentais qu’elle mourait d’envie de prendre mon sexe à pleines mains. Effectivement, sans attendre, sa main glissa vers mon maillot et caressa doucement mon sexe à travers le tissu. — Pas mal, dit-elle en me regardant en souriant. Enlève ton maillot.— Arrête le supplice, lui dis-je, enlève-le, toi.— Enlève ton maillot, dit-elle impérieuse, sinon rien. J’obtempérai en me tortillant. Mon sexe, qui ne demandait que ça, jaillit de mon slip, bandé à mort. Une fois complètement nu, allongé sur les coudes, je lui dis : — Voilà, il te plaît ? Occupe-t’en, je ne tiens plus.— Pas mal, taille correcte, dit-elle, mutine. Elle eut un petit rire, se mit à genoux, jeta un coup d’œil pour voir si quelqu’un approchait, puis fit remonter ses doigts le long de ma verge, chatouilla le bout de mon gland, prit son temps pour mieux le découvrir, puis petit à petit, le saisit à pleine main. Elle commença à ...

... me branler de haut en bas avec un mouvement circulaire. Elle me regardait en même temps pour voir ma réaction. — Oui, super, continue, dis-je dans un souffle, la tête renversée en arrière.— Ça te plaît ?— Oui, oui, continue. Tu as des mains d’experte. Prends-moi dans ta bouche. Elle ne se le fit pas dire deux fois. Elle se pencha. De sa langue, elle commença à me lécher le bout du gland, descendit le long de ma hampe, remonta, me prit à pleine bouche et me pompa avec vigueur, tout en continuant à me branler. — Je vais jouir, criai-je, ne tenant plus.— Non, attends, retiens-toi un peu. Ta belle queue m’excite, maintenant. J’ai envie que tu me prennes, tu veux bien ?— Oui, oui, viens sur moi. Sans plus attendre, elle se mit à califourchon, prit mon sexe et l’introduisit dans sa petite chatte. Elle était tellement ouverte et humide que mon sexe y entra d’un seul coup. Surprise par la facilité de pénétration, elle poussa un petit cri. Elle se cambra, ses mains appuyées sur mes jambes pour mieux aller et venir. Ses seins dansaient sous mes yeux au rythme de ses soubresauts, ses pointes dressées et dures. Je les pris entre mes doigts et les malaxai, ce qui ne fit qu’augmenter son plaisir, à voir la fougue de ses mouvements et de ses cris, qui devenaient de plus en plus forts. Elle secouait la tête de droite à gauche, entraînant ses mèches blondes. D’un seul coup elle s’arrêta, ses mains pincèrent mes cuisses très fort, nos regards se croisèrent et j’y lus une telle jouissance que ...