1. Moi et je ne sais qui !


    Datte: 26/03/2020, Catégories: fh, Oral

    ... continuait à se laisser faire. Je frottais mes joues, mon nez, mon front, mes paupières mi-closes sur le tissu tendu de son pantalon de toile. Je m’appliquais à contrôler mes gestes, très lents, afin de ne rien brusquer, afin de faire monter le plaisir progressivement, sans précipitation inutile. Ma bouche produisait abondamment de salive. Je me mettais à lécher son sexe plaqué sous le tissu râpeux. J’approchais une main et commençais à défaire, un à un, les boutons de son pantalon. Luc restait sage, il gardait ses mains le long de son corps, me laissant le contrôle total de la situation. Je dégageais son sexe de son slip. Plongés dans l’obscurité des routes sinueuses de campagne, les quatre sens qui me restaient me semblaient exacerbés. D’abord l’odorat, le parfum musqué de la queue de Luc venaient se loger sur mes cellules olfactives. Cette odeur possède une vertu magique, mon clitoris se met soudain à battre comme un tambour sous une pluie battante. Je m’enivre de son odeur de mâle, les pointes de mes seins s’érigeaient subitement. Ensuite le toucher, je reprenais le roulis de mon visage sur sa queue, cette fois au contact direct. Je sentais à présent les moindres aspérités de son membre sur ma peau sensible. Les premières gouttes de lubrifiant naturel commençaient à perler de son gland gonflé. Lorsque nous croisions dans la nuit une voiture, j’en profitais pour observer le visage de mon amant à la lueur éphémère des phares. Tantôt il m’observait agir, tantôt il dirigeait ...
    ... son regard vers le rétroviseur intérieur comme pour vérifier si Harry s’était rendu compte de ce que nous faisions. Il prenait du plaisir, c’était indéniable. J’en prenais aussi. Enfin le goûter, j’enfournais sa queue dans ma bouche. Je focalisais toute mon attention sur la forme de son sexe que je découvrais au contact de mes lèvres, ma langue et mon palais. Rond, ferme, légèrement courbé, son sexe au goût d’homme se logeait parfaitement dans ma bouche, comme une clé dans une serrure. Je ne voulais pas que notre petit jeu prenne une tournure malsaine, je prenais garde à ne pas attirer l’attention de Harry, j’évitais les mouvements amples de ma tête. Je sentis soudain une main de Luc caresser ma chevelure courte et bouclée, son autre main s’insinuer sous mon tee-shirt. Il malaxait doucement mes petits seins pointus. Je m’appliquais à sucer sa queue délicieuse, sans faire de va-et-vient, juste en aspirant son bout de chair dans ma bouche, comme on fait fondre lentement une sucrerie pressée entre la langue et le palais. Seule ma langue exerçait une série de pressions régulières sur son membre. Je mordillais par moments. Les premiers soubresauts de sa queue annonçaient l’imminence de l’orgasme et la giclée de sperme qui l’accompagne. Luc continuait à malaxer mes seins. Ses gestes se faisaient plus insistants, annonçant eux aussi l’approche de l’orgasme qui allait inonder ma bouche de son jus âpre. Je sentais mon sexe trempé. Je ne ressentais pourtant pas le besoin d’un contact ...