1. une histoire 2ème partie


    Datte: 26/03/2020, Catégories: Gay

    J’ai annoncé à Vincent qu’à la rentrée prochaine, mes parents voulaient que je sois pensionnaire. Je vis son visage s’assombrir. Pour le rassurer, je lui dis en le serrant dans mes bras, qu’il est mon ami, que je ne l’oublierai pas, nous nous verrons pendant les week-ends et les vacances.Avec mes parents, nous avons visité le collège qui allait m’accueillir. Il était assez récent, de taille moyenne. Le bâtiment abritant les chambres possédait un étage.Je suis rentré à la maison le premier week-end après la rentrée. La joie de revoir Vincent était réciproque. Je lui racontais mes débuts à l’internat.J’étais logé dans une chambre au premier étage. Il y avait trois lits éclairés par une petite lampe. Un casier pour ranger nos affaires séparait nos lits, une petite table de nuit individuelle. La fenêtre donnait sur la campagne.Je fis connaissance de mes colocataires le jour de la rentrée. Le lit juste à côté du mien serait occupé par un garçon blond, plus grand et musclé que nous, l’autre lit, occupé par un collégien du même gabarit que moi.Tout en nous installant, nous faisons connaissance. Le grand blond s’appelait Julien avait quinze ans et demi, l’autre se nommait Simon, avait eu comme moi quatorze ans pendant les vacances.Seul, Simon serait dans ma classe, Julien redoublant serait dans une autre classe.Nous devions être une cinquantaine pour le repas du soir. Le surveillant des dortoirs nous indiquait le règlement des chambres et des sanitaires.Les douches devaient être ...
    ... prises tous les deux jours, après le repas du soir, entre 20 heures et 21 heures, les lumières éteintes à 22 heures.Vincent écoutait avec attention mon récit.Le premier soir, je regardais comment chacun se préparait à se coucher. Simon et moi gardions notre slip sous notre pantalon de pyjama, Julien se retourna pour retirer son slip et mettre son pantalon de pyjama. Je n’ai pu voir que ses fesses en espérant voir son sexe lorsqu’il s’habillera.- et alors dit Vincent ?- rien, le lendemain matin il s’est encore retourné pour s’habiller.- Ça te faisait bander ?- J’y pensais dans mon lit en me tripotant.- Tu ne pensais pas à moi ?- Je pensais à toi en me rappelant nos balades au bord de la rivière lorsque nous nous caressions jusqu’au plaisir.Et pour les douches, vous étiez tous à poils ?- Non, nous étions en peignoirs, les douches étaient fermées par un rideau, certains essayaient d’ouvrir les rideaux pour voir les mecs à poils. Un surveillant était présent pour éviter tous débordements.Je revis Vincent à chaque fois que j’ai pu, pour lui raconter que les cours étaient plus intenses, le sport plus endurant, les études du soir étaient faites pour travailler.Aux vacances de Toussaint, je passais beaucoup de temps à me balader avec Vincent qui voulait savoir comment se passaient mes soirées au pensionnat.Rien de très nouveau, je n’avais jamais réussi à voir Julien de face, bien qu’un matin, n’étant pas bien réveillé, il s’habilla face à moi, enlevant sa veste de pyjama en premier pour ...
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