1. Sophie et le jeune interne. (3)


    Datte: 26/03/2020, Catégories: Hétéro

    ... Viens dans mon cul, montre-moi que tu es un homme, un vrai !... — Ecarte-toi bien... Tu me ramènes les jambes sur mon torse, mes fesses te sont offertes, tu poses tes mains dessus et les écartes, dévoilant mon petit trou entrouvert et luisant qui palpite d’impatience ou de peur et c’est pour toi la plus belle des invitations. Je sens ton gland appuyer délicatement mais fermement sur mon petit trou, lentement, très lentement, tu pousses devant toi ta poutre tendue qui ne plie pas et fais disparaître dans mon cul ton gland violacé avec une facilité déconcertante... Je suis agréablement surprise que mon anus accepte avec autant de facilité ta verge imposante... Quand j’émerge de mes pensés, ton sexe est déjà entièrement en moi et tes couilles s’écrasent sur mes fesses rebondies. Tu te retires avec une lenteur exaspérante ne laissant que ton gland à l’intérieur et te renfonce entièrement à la vitesse d’un escargot essoufflé et continue ce petit jeu pour laisser à mon sphincter le temps de s’adapter à ton calibre et à mes boyaux à la longueur de ton défonce-cul : — Allez viens, qu‘est ce que tu attends pour y aller plus fort ! Il recommence à coulisser en moi doucement puis de plus en plus vite. — Comme ça ? — Ouuuiii c’est bon... Va plus vite, merde ! Que n’ai-je pas dis là ? Il me tire sur le bureau par les jambes et me sodomise en force, j’ai le cul en feu sous la violence de ses assauts mais je suis heureuse de donner du plaisir à mon petit docteur. Le son sourd des deux corps ...
    ... qui s’entrechoquent, le bureau qui tape contre le mur et ses tiroirs qui claquent en cadence agissent comme un métronome qui rythme ses enculades effrénées. Boum… Boum… Boum… Boum… Boum… Boum… Je laisse sans plus aucune retenue, s’échapper de ma bouche une mélodie improvisée de petits cris et de râles. Il alterne l’amplitude de ses pénétrations, passant de petits coups de rein à des pénétrations de toute la longueur de son manche, n’arrêtant jamais de me limer le fion. — Ton cul est merveilleux et si serré, mais tu as vu comme je suis entré sans problème, tu ne me l’as pas avoué mais je suis sûr que ce n’est pas la 1ère grosse pine qui honore ton cul ! — Ooooh que c’est booonnn… j’adore être prise comme ça... Mais tu as raison, il m’est arrivé une fois de me faire enculé par un grand Black avec une impressionnante bite. Encore une drôle d’idée de ma lopette de mari qui adore me voir me faire sauter en m’espionnant avec sa petite bite dans la main ! Je ne sais pas s’il m’écoute mais ses coups de reins sont de plus en plus puissants, je dois serrer les dents pour ne pas crier à chaque fois que ses couilles claquent contre mes fesses à un rythme toujours aussi soutenu. Nos gémissements s’ajoutent au couinement du bureau martyrisé, je ne vais plus tarder à lâcher de nouveau les grandes eaux. — Ouiiii vas-y défonce mon cul à fond, aaahhh... Ooooooh je jooouuuiiisss, t’arrête pas !!! Plus fort, plus vite !!! ooouuuiii, je me viiiide !!! - Tu aimes on dirait que je te défonce comme ...