1. PRELIMINAIRES AU CHATEAU – Une infirmière en Beauce 05


    Datte: 26/03/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... rosace plissée. Surprise, Valérie a interrompu sa savante fellation. Comme Hervé donne de larges coups de langue de la raie culière jusqu’en haut du pubis, elle est rassurée sur les intentions de son mari, et elle reprend la verge en bouche. Hervé a bien compris qu’il ne faut pas trop insister sur cet endroit, pour l’instant complètement tabou. Pourtant, il a bien l’intention dans un avenir qu’il espère proche, de bouffer le cul de son épouse, de lui entrer ses doigts pour élargir les sphincters du trou de balle et de la sodomiser avec sa pine au plus profond de ses entrailles. À ce moment, ses pensées lubriques, contrairement à son habitude sont d’une vulgarité étonnante pour ne pas dire triviales frisant même l’obscénité. Il écarte délicatement les grandes lèvres gonflées de sang et palpe à pleins doigts la chair onctueuse du vagin, admirant la profondeur orangée et de plus en plus sombre du mystère féminin. Il chatouille d’un doigt le méat d’où perle une goutte de liquide indéfini, sentant la vibration de l’excitation produite par sa caresse certainement perçue comme inconvenante par sa prude épouse. Puis, il retrousse de deux doigts le capuchon clitoridien, frôlant le bouton du bonheur, cette fluette protubérance ressemblant à une petite bite que la langue d’Hervé vient titiller, faisant sursauter les cuisses et le ventre de Valérie qui pousse un gémissement rauque. La mouille envahit les chairs vaginales, tandis que la bouche d’Hervé s’empare de l’extrême ogive qui ...
    ... a durci en l’aspirant jusqu’au fond du palais, et provoque chez son épouse un soubresaut soudain. Son clito, pris entre les lèvres de son mari et tété à mort, elle s’arc-boute sous la stimulation voluptueuse, tordant son corps en tout sens, voulant échapper à l’incroyable et douloureux plaisir charnel qu’elle ressent. Lorsque l’orgasme dépasse la jouissance divine ressentie, elle pousse un mugissement et retombe sur le torse de son époux, anéantie par la volupté de cette caresse buccale ultime. Hervé se dégage d’entre les cuisses de son épouse, il vient la prendre dans ses bras, la berçant tout en lui caressant le visage. Celle-ci, confuse et tout de même un peu honteuse de s’être laissé aller, n’ose pas le regarder. Pourtant, elle lui dit tout bas. « Merci mon Amour, tu m’as fait jouir comme jamais. Mais, toi, je t’ai abandonné, pardonne-moi, avec ce que tu m’as fait subir, je ne pouvais plus me concentrer sur ton plaisir ». Ce faisant, Valérie reprend le vit de son mari en bouche et le pompe avec une grande application, faisant des circonvolutions de sa langue autour du vit qu’elle maintient fermement. À genoux devant son mari qui s’est mit debout, habillée seulement de ses bas et de son porte-jarretelles, Valérie est d’un érotisme inouï ! Lorsqu’elle sent la sève courir dans l’urètre, elle la bloque en serrant très fort la verge turgescente, puis, relevant la tête, elle ose regarder son mari dans les yeux, relâchant la pression sur le membre tout en le branlant sans ...