1. Education d'une soumise


    Datte: 27/03/2020, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme

    ... confiance, à la manière dans le regard noir et profond la fixait intensément. “Détends toi, lui dit-il, déshabilles toi, je te veux nue et offerte ! Obéis !” Sa voix était devenue cassante en prononçant ces derniers mots. Elle sut qu’il ne supporterait pas d’incartade. Lentement, elle défit un à un les boutons de son corsage de voile noir, laissant apparaître ses seins magnifiquement encadrés par un soutien-gorge de dentelle assorti. Ses doigts nerveux dégrafaient maintenant la jupe, qui glissa à terre, rejoignant le chemisier. Elle apparut alors dans toute sa splendeur, vêtue uniquement d’un porte-jartelles assorti au soutien-gorge, de bas à couture et d’escarpins délicats à talons aiguilles très hauts. M. l’observait, comme un amateur de toile observerait une oeuvre d’art ! Il avait l’air satisfait du tableau qu’elle lui offrait. D’une voix sèche et cassante, il lui demanda de se diriger vers le fond de la pièce… où elle aperçu non seulement un lit, mais également un drôle de meuble, intermédiaire entre un tabouret et une console !! Il était capitonné et recouvert de velours noir… Elle aperçu, posé sur le lit, un masque de satin noir. C’était un loup du même style que celui de M. à une différence près, et elle était de taille, que celui-ci ne comportait pas d’ouverture pour les yeux ! “Tu sais ce que tu dois en faire” lui dit-il, “alors, vas-y, j’attends”. Fébrilement, elle se voila les yeux, et senti sa peau frémir en sentant le nœud se resserrer. “Bien, tu vas faire ...
    ... maintenant cinq pas sur ta droite, tu t’arrêteras, et te cambreras en avant… Je veux voir ton cul bien haut, tes reins se creuser… Obéis”Au cinquième pas, elle cogna dans un meuble qu’elle identifia aussitôt comme celui qui l’avait tant intriguée à son arrivée dans cette pièce. Elle pris appui sur lui, et s’appliqua a prendre la pose qu’il lui avait indiqué ! Il était à côté d’elle, elle sentait son souffle. Elle sentit quelque chose venir frapper le creux de ses reins… “Cambres-toi mieux que cela ! Allez ! Et écarte moi ces jambes… J’ai dit que je te voulais accessible !”. Reculant ses jambes, elle s’appliqua à en écarter le compas au maximum que le lui permettait l’équilibre de ses talons hauts, tout en creusant ses reins un peu plus. Ses fesses apparaissaient maintenant dans toute leur splendide obscénité ! C’est à ce moment qu’elle reçu le premier coup de martinet… suivi immédiatement d’un autre, et d’un autre… Ses yeux s’embuèrent de larmes sous le loup, mais en même temps, elle sentait une chaleur incroyable monter du plus profond de ses tripes. “Ca, c’est pour ne pas avoir obéis assez vite, je t’avais bien dit de te cambrer et de t’offrir ! Chaque manquement à mes ordres sera passible d’une punition ! Réponds moi quand je te parles !”. C’est avec un sanglot dans la voix qu’elle laissa échapper “Oui Monsieur, merci Monsieur”. Elle sentait maintenant quelque chose de dur passer lentement sur ses lèvres, remonter sur son pubis, puis redescendre encore, excitant son clitoris ...
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