1. Jasmine : princesse et salope (29)


    Datte: 27/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... tout puissant. Jasmine partageait sa vie en tant qu’épouse et non plus en tant qu’esclave. Même si elle restait terriblement soumise envers lui, elle savait s’affirmer en tant que femme de caractère auprès des habitants du village et surtout auprès des autres femmes du foyer. La vie sexuelle de Jasmine c’était quelque peu normalisée bien que les rapports avec le Génie soient sans limites en termes de possibilités : il pouvait prendre l’apparence de n’importe qui ou de n’importe quoi. Tous ses fantasmes étaient comblés et elle était la plus heureuse des femmes. D’autant qu’il acceptait qu’elle s’offre aux habitants du village aussi souvent qu’elle en avait envie. Et pour une bonne grosse orgie à domicile ? Il suffisait que le Génie se dédouble autant de fois que nécessaire pour comble l’appétit toujours démesuré de Jasmine ! Lui aussi avait de la chance d’avoir Jasmine car celle-ci, loin d’être jalouse, adorait le voir défoncer Lily ou Iris. Les deux femmes, en bonne commerçantes et gérantes, tenaient un magasin dans le village, principale source de revenu du foyer. Un magasin qui marchait fort, peut-être du fait ...
    ... de la beauté des deux femmes ou du fait qu’on pouvait les sauter à tout moment de la journée… Et puis il y avait Rose, la chienne de la maison. Elle passait son temps au pied du Génie, obéissant au moindre de ces ordres en espérant simplement en retour un peu de sexe. Jasmine et le Génie aimaient beaucoup cette chienne et il n’était pas rare qu’ils la baisent ensemble, en amoureux, pour lui donner sa dose quotidienne d’orgasmes. Pour la première fois depuis une éternité, le Génie était heureux. Il était assis dans un large fauteuil et regardait le feu crépiter dans la cheminée. Sa chienne était couchée à ses pieds, nue, l’anus encore suintant de sperme ; sa femme Jasmine endormie nue dans ses bras, la main posée sur son sexe encore dur et Iris et Lily, ses deux maîtresses favorites, étaient en train de se lécher mutuellement devant lui, sur la fourrure qui ornait le sol du salon, les flemmes donnant une couleur fauve à leur peau en sueur. Alors qu’elles jouissaient et que ses doigts sortirent du sexe humide de Jasmine, il ferma les yeux, sourit, lova sa tête contre la poitrine de sa Princesse et s’endormit. Fin. 
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