1. Les plaisirs du rire


    Datte: 27/03/2020, Catégories: ffh, jeunes, copains, anniversai, fsoumise, fsodo, fouetfesse,

    ... de 3h du matin. Chaque personne qui venait la voir lui donnait l’impression de la dévisager comme si son petit drame était connu de tous. Clémentine s’efforça de se calmer et passa de groupe en groupe pour se changer les idées. Après plusieurs minutes, elle aurait même pu recommencer à s’amuser si ce sous-vêtement maculé par une autre ne lui brûlait pas la vulve de dégoût. Cherchant son amie Julie pour se réconforter en écoutant son babillage incessant, Clémentine se mit à explorer la maison d’Arnaud, ouvrant chaque porte et interrogeant toutes les personnes qu’elle croisait. À l’étage, elle entra successivement dans la chambre des parents de son ami, dans celle d’Arnaud ou certains invités s’étaient réfugiés, puis dans une troisième qu’elle supposa être celle de Camille. Continuant à chercher Julie, Clémentine allait refermer la porte quand une idée la traversa. Pourquoi ne pas prendre une culotte propre dans les tiroirs de Camille ? Ainsi, elle pourrait se débarrasser de ce morceau de tissu souillé qu’elle portait. Vérifiant que personne ne pouvait la voir, Clémentine se glissa dans la pièce et referma la porte derrière elle. Instinctivement, elle tâtonna, espérant que la clé serait dans la serrure. Déçue de ne rien trouver, elle jeta un coup d’œil circulaire à la pièce et aperçut dans la pénombre une commode sur laquelle elle se précipita. Le premier tiroir fut le bon et Clémentine se trouva nez à nez avec une importante collection de chaussettes, mais aussi de strings, ...
    ... boxer, culotte et même de sous-vêtements plus… sexy ! Ses doigts passèrent sur quelques dentelles fines et quelques ficelles plus aptes à servir de frondes que de cache-sexes. S’arrêtant sur une culotte de coton, la jeune fille allait se changer quand elle vit que la porte de la chambre s’ouvrait délicatement. Clémentine s’accroupit entre le mur et la commode, espérant que la personne ne rentrerait pas dans la pièce. Elle se mordit le poing quand elle vit qu’il s’agissait d’un couple et qu’à peine entré, les caresses et embrassades avaient fougueusement repris sur le lit de Camille. Tentant de distinguer leurs visages, Clémentine reconnut bien vite Arnaud et Julie qu’elle avait en vain cherchée. Elle commençait à se demander si elle n’allait pas rester bloquée dans cette chambre de longues minutes, quand ses craintes furent attisées par le fait que les mains d’Arnaud se faisaient de plus en plus baladeuses. Remontant le dos-nu de Julie, Arnaud avait découvert les deux seins magnifiques de la jeune fille qui avait pris une expression plus que suggestive. Les deux mains du garçon cherchaient en vain à emprisonner ces deux globes effrontés et les faisaient rouler en les malaxant. Julie, accroupie sur son hôte, ne retenait plus quelques gémissements et descendait avec délicatesse la braguette de celui-ci. Les gênes successives de Clémentine et la situation actuelle commençaient à exciter celle-ci de plus en plus. Son cœur battait plus vite, et elle sentait que son bas-ventre la ...
«1...345...»