Trav'Estelle; mon meilleur amant (suite)
Datte: 27/03/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
Transexuels
Nous sommes restés pas mal de temps ainsi, sur la banquette, à s'embrasser, se caresser, à parler de cul, mais surtout à picoler, et je dois avouer que je commençais à être sérieusement bourrée quand il me demanda:- Tu m'as dit que tu avais pas mal de tenues, qu'est ce que tu as comme tenue qui m'exciterait?Je lui montrait toutes mes fringues de salope et il flasha sur une body en vinyle, une combinaison résille et des talons aiguilles de 12 cms.- Je te préviens, lui dis-je, je ne sais pas si je vais pouvoir marcher avec ça, maintenant, je commence à être bourrée.- Ne t'inquiètes pas, tu n'auras pas besoin de marcher, avec ce que je te prépares.Je partis m'habiller dans la salle de bains, enfilant la combi en résille, puis le body par-dessus. Je retouchais mon maquillage, et me présentais devant mon amant, les talons à la main. Lui-même était en train de fouiller dans mon "coffre à bonheur", où étaient entreposés tous mes accessoires et divers sextoys. Il me prit par le cou, me força à m'agenouiller et me mit un collier autour du cou, et y accrocha une laisse.- Mets tes chaussures, m'ordonna t'il.J'obeis, sans rien dire.- A genoux!Toujours sans rien dire, j'obtempérais.- Mets tes mains derrière le dos!Je lui obéissais et il me menotta avec 2 paires de cadennes, de telle manière, que je ne pouvais plus bouger (poignet gauche relié à la cheville droite, poignet droit relié à la cheville gauche). Il sortit un gag-ball.- Ouvres la bouche!J'ouvris. Il me cracha dans la bouche, ...
... l'obtura avec la boule, et serra fort. Je ne pouvais plus respirer que par le nez. Il posa un loup devant mes yeux.- Maintenant, petite pute, tu es à ma merci. Je peux faire de toi ce que je veux, tu en es bien consciente?Je ne pouvais pas répondre, tétanisée par la peur, et ayant la bouche obturée.-Tu en es consciente, salope? hurla t'il.Une formidable gifle faillit me faire tomber sur ma droite. J'acquiescais en hochant la tête. il me prit la tête à deux mains et se mit à me cracher dans le visage à plusieurs reprises, à me gifler, puis à me caresser, avant de recommencer ses sévices. J'étais complètement à sa merci, cela me faisait peur, mais, également, et peut-être était-ce dû à l'alcool, j'avais totalement confiance en lui.Au bout d'un long moment, et après m'avoir copieusement craché dessus, giflé, insulté, traité de tous les noms, il retira le gag-ball, enfourna rudement sa bite au fond de ma bouche, posant ses mains derrière ma nuque pour me maintenir dans cette position où j'étais obligée d'avaler entièrement sa queue. Puis il relâcha l'étreinte, et me pistonna la bouche, toujours en me maintenant par une main posée sur ma nuque.- T'as l'air d'aimer ça, ma salope, hein?Bien sûr, je ne pouvais pas lui répondre, mais c'était vrai, j'adorais ça. J'adorais être sa chose, son objet de plaisir. Il pouvait faire ce qu'il voulait, je ressentais un plaisir inouï à me faire dominer par cet homme.Il m'ota le loup de skaï, et je vis devant moi un homme triomphant, qui savait qu'il ...