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Vacances sur la côte.
Datte: 28/03/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... train de la baiser sauvagement. Je referme doucement la porte en laissant à peine de quoi voir sans être vu et je profite de cette scène qui m’excite comme un dingue. Je sors ma queue du maillot qui la protégeait et je me branle au rythme des va-et-vient de Paul. Brusquement, Paul, accélère, ses râles se font plus puissants, et il étouffe à peine ces mots : « J’vais jouir, j’vais jouir, oh oui, j’vais jouir ! » Lucie se redresse alors, se retourne et se met à genoux face à lui. Elle s’empare de ses fesses pour l’attirer vers elle, et engouffre la bite de Paul dans sa bouche, sa tête en mouvement imitant la cadence de son amant. Paul ne tarde pas à se vider les couilles au fond de sa gorge en lui caressant les cheveux. Je jouis à mon tour dans ma main et je suis un peu sonné quand je réalise qu’il faut que je m’éclipse rapidement. Je me cache dans les toilettes en attendant que la voie soit libre. J’entends, au travers de la porte, Paul marmonner quelques mots chuchotés, ce à quoi Lucie lui répond par un ricanement discret. Puis il sort de la salle de bain et tente d’actionner la poignée de la porte des toilettes. « Occupé ! » lancé-je Il passe son chemin. Je m’extrais de ma cachette pour aller rejoindre ma femme qui fait comme si rien ne s’était passé et se brosse les dents. « Alors ce bain t’a fait du bien ? » - oh oui, c’était délicieux, très relaxant. Tu viens ? - je me lave les mains et j’arrive. Puis elle quitte la pièce mine de rien. Jusque là, je pensais que nous ...
... étions sur la même longueur d’onde, à savoir que cela nous excite que d’autres hommes puissent participer à nos ébats. Je ne savais pas que de son côté, ma Lucie, me faisait cocu et servait de videuse de couilles dès qu’elle en a l’occasion. Cette nouvelle découverte me surexcite d’avantage qu’elle ne me peine. Je reviens donc au salon avec les autres, m’assois sur un fauteuil isolé et commence à boire de l’alcool un peu plus fort. Jérémy cuisine, les deux autres rigolent avec ma femme qui semble détendue et très aguicheuse. Il faut dire qu’elle est toujours dans une tenue assez légère puisque nous n’avons pas eut le temps de repasser au mobil home pour récupérer quelques affaires. J’interpelle d’ailleurs Paul à ce sujet : « Dis moi Paul, est ce que ça te dérangerait de me conduire au camping pour que je puisse prendre de quoi nous changer ? » - Avec plaisir, c’est vrai qu’il va commencer à faire froid avec la nuit qui tombe. Dit-il - Je viens avec toi, s’exclama Lucie, j’ai des trucs de fille à prendre et tu ne sauras pas où c’est rangé ! D’un hochement de tête, je valide cette remarque qui cache sans doute une autre raison moins avouable pour Lucie et je dis : « Ok Paul, je te donne mon numéro de tel, on sait jamais, faites bien attention » Les voilà partis seuls en direction du camping qui se trouve à une dizaine de minutes d’ici. Je regarde l’heure, il est 21h00. En théorie ils devraient être revenus vers 21h30/21h45 grand max. Je me ressers verres après verres du whisky pour ...