1. Week-end à la mer (1)


    Datte: 28/03/2020, Catégories: Hétéro

    ... parcours caressant ta cuisse, ta hanche, ton ventre, frôlant ton sein, faisant plusieurs allers et retours, je mange ta langue, tu manges la mienne, elles s’agacent, se lèchent ; pareil pour nos lèvres. Ma main reste sur ton sein, le pétrit, le caresse ; je pince ton téton, l’étire, le tords, aussitôt il se dresse, je fais de même avec l’autre sein. Ta main aussi me caresse le torse, mon ventre, mon pubis ; je dis doucement ma chérie, laisse-moi un peu de temps. Soudain, nous entendons des gens discuter, je jette un œil, ils sont en bas de la dune, mince... Nous attendons, en fin de compte, ils repartent vers le bord de mer. Je ne perds pas de temps, même si ma main n’a pas arrêté de te malaxer les seins. Maintenant je descends ma main, caresse tes poils si doux, la tienne attrape mes testicules, les malaxe. Cette fois je plaque ma bouche sur ton sein, je suce ton téton bien raide, nous sentons un léger vent, un peu de sable vient se déposer sur nous ; ma main se cale entre tes jambes, bien plaquée sur ton sexe, deux doigts te pénètrent doucement, caressant ton beau clitoris au passage... j’évite ainsi le sable de se coller à ton sexe. Tu mouilles bien, tu seras vite trempée, je m’active en toi, tétant ton sein avec force. Mais on entend une discussion qui se rapproche venant des dunes, vite fait de reprendre une position correcte. Arrivent un homme et une femme d’un certain âge, nus, qui passent pas loin de nous, indifférents à notre présence, passent et s’éloignent. Je ...
    ... te regarde dans les yeux, ils sont pleins de désirs et de plaisirs. J’imagine ton nectar qui s’écoule de tes cuisses, moi j’ai plié ma jambe pour cacher ma queue qui a bien grossi et la liqueur qui s’écoule du bout... Aussitôt disparus, je reprends mon travail sur tes lèvres si douces. Mes doigts te pénètrent à nouveau, j’ajoute un troisième doigt, mon pouce s’occupe de ton clitoris. iqriddfh Cette fois tu es trempée, l’excitation donnée par le passage de ce couple et par mon travail j’espère... Cette fois ta main ne prend pas mes couilles, tu attrapes ma bite et la branle, je quitte ton sein, t’embrasse à nouveau, on se masturbe mutuellement, nous accordons nos rythmes, mon ****** t’empêche de chanter ton chant de jouissance, au bout d’un petit moment j’ai trop envie, tant pis, pas de bruit très proche, je laisse ton sexe, me mets à genoux, te retourne, tes belles fesses se dandinent, humm tu m’excites encore plus. J’approche ma queue, mon gland à l’entrée de ton antre, je sais que tu es trempée et puis il me reste peu de temps... Alors je m’enfonce en toi d’un coup, quel délice, ton nectar lubrifie à merveille ton vagin, du miel si doux, je tiens tes hanches, coulisse en toi doucement, me retirant presque complètement à chaque coup et essayant de m’enfoncer plus à chaque fois. Tu mets une main sur ta bouche pour ne pas trop crier, mes jambes tremblent, ton vagin se contracte... heureusement car je vais cracher, ton bassin ondule, tu gigotes, mon jet gicle et te frappe bien ...