1. Ma femme avec deux Arabes (1)


    Datte: 25/09/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... langue et des mains. Mohamed est toujours aussi lent à bander mais petit à petit les mains de ma salope paressent ridicules sur cette tige pharaonique. Il pose ses deux mains sur les cheveux de ma femme et introduit la colonne de chair dans sa bouche. Elle le suce sans rechigner avec des haut-le-cœur quand il va trop loin. Des filets de bave coulent au coin de ses lèvres et pendent de son menton sur au moins 20 centimètres. Lorsqu’il se juge au top, il la couche sur le lit, prend les jambes d’Annie qu’il remonte sans ménagement contre sa poitrine et s’installe dans le compas ainsi ouvert. Il ne prend pas de gants dirigeant son rostre vers le cul offert qu’il est le seul de la soirée à n’avoir pas visité. Les mains sur ses cuisses, il pénètre d’un coup de reins lent et puissant l’anus si fréquenté ce soir le plus loin possible. Les gémissements de ma femme montent dans les aigus montrant son plaisir. Il va doucement au début mais la ramone de plus en plus vite après un moment d’adaptation. Il varie les positions passant d’un trou à l’autre ce qui déclenche un véritable délire érotique de ma salope. Il la pistonne, c’est magnifique de la voir embrochée sur cette bite monstrueuse qui fouiller ses reins. ...
    ... Et elle en redemande : — Plus fort, fais-moi mal au cul, éclate-moi le fion, ouuuiii c’est trop bon !!! J’entends leur souffle, il transpire sous l’effort : — T’es trop bonne salope !!! Elle jouit sans retenue comme une salope en chaleur sous le pilonnage de la grosse bite. Soudain, sous l’excitation de ma femme, il accélère encore pour arriver lui aussi à sa jouissance. Quand il se retire enfin d’elle, en laissant une énorme quantité de foutre qu’il vient encore de lâcher. Je ne peux moi aussi me retenir et éjacule quelque goutte dans mon coin. — Bon, c’est pas tout ça ! S’exclame Rachid, mais on n’a pas que ça à faire, tu te resapes vite fait et on te ramène ! Elle voudrait bien aller dans la salle de bain pour se laver, usée par les assauts puissants de tous ces hommes. Mais il ne lui en laisse pas le temps. — Allez dépêche-toi, tu feras ça chez toi et maintenant tu sais ce qui t’attend ! J’attends un moment après qu’ils soient partis et sors subrepticement moi aussi. Que vais-je faire ? Arrêter les frais ou la laisser encore un peu en baver ? Mais je trouve qu’elle commence vraiment à trop aimer ça. Et si maintenant qu’elle a goûté aux grosses cylindrées, elle ne voulait plus de mon petit piston ? 
«12345»