Visite
Datte: 29/03/2020,
Catégories:
fh,
intermast,
Oral
pénétratio,
... Mais je prolongeai l’impitoyable et violente caresse dans son vagin tout en mordillant et léchant ton clitoris. J’accentuai encore ma pression sur elle. C’est ma langue qui la vainquit. L’orgasme se déclencha avec une violence inouïe, la chavirant complètement. Ses poumons se vidèrent en une longue plainte. Quelques spasmes l’agitèrent encore. Puis elle se calma. Un sourire béat apparut sur ses lèvres. Elle ferma les yeux comme pour revivre l’intensité de l’orgasme. Je libérai ses jambes encore engoncées dans le jeans, je la relevai et l’emmenai vers le canapé du salon. Maintenant, c’est moi qui n’en pouvais plus. Je la précipitai sur les coussins, lui ouvris les cuisses. Je lui remontai les genoux contre les épaules, l’enroulai dans mes bras et m’enfonçai en elle comme dans le bonheur. Je n’avais plus qu’une idée fixe : lui défoncer la chatte sans le moindre ménagement. À grands coups de boutoir, je pris possession de sa chatte, et ses chairs tendres, soumises de mon membre dur, firent corps avec lui. Sa respiration sifflante se transforma en halètement rythmé, suivi bientôt de gémissements. Enfin, elle cria, proféra des mots sans suite et des obscénités. Ses paroles sont encore dans ma tête : — Défonce-moi, salaud… vas-y…défonce-moi… ...
... tringle-moi…vas-y… mets-moi ta queue toute dure au fond… oooooh salaud… gicle-moi tout le sperme dans le con… vas-y salaud… Gicle-moi la connasse! . J’ activai encore le rythme et la violence de l’assaut tout en accentuant ma pression sur elle. Mes mains malaxèrent ses seins tandis que ma langue lui titilla le lobe de l’oreille. Ses jambes, contre mes épaules, voulurent se rebeller. C’est à ce moment-là que je lâchai la longue giclée de sperme chaud dans le ventre. Elle se tétanisa et cria encore. Puis elle se relâcha, anéantie. Je savourai cette victoire avec une joie indicible, comme elle-même savoura sa défaite au prix du plaisir qu’elle en avait tiré…… Une demi-heure plus tard, douchée, rhabillée, coiffée et pomponnée de frais, sur le départ, elle m’apprit le motif de sa visite. Pierre, son mari, partait pour le week-end avec les enfants chez leurs grands-parents pendant qu’elle resterait à se reposer dans la maison de campagne. Comme elle passait dans mon quartier, l’idée lui était venue de m’inviter à y faire une visite. Elle me précisa encore que son beau-frère Fabien passerait sans doute aussi… Si nous le souhaitions, nous pourrions venir dès le samedi… Ravi, je m’empressai d’accepter cette invitation pour un week-end que j’allais l’attendre avec impatience…