1. Soumise à un inconnu


    Datte: 29/03/2020, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Hardcore,

    ... d’avoir connu un orgasme aussi violent. Je m'évanouis pendant quelques secondes. Quand je recouvre mes esprits, l’homme se tient devant moi, son bassin à hauteur de ma tête. Il baisse très lentement la braguette de son pantalon en cuir et en extirpe un sexe énorme, en érection.- C’est à ton tour de me faire plaisir. Souviens-toi du bâton électrique. Si je sens tes dents, je te colle une nouvelle décharge et elle sera bien moins agréable que le petit chatouillis de tout à l’heure.Il saisit ma tête avec les deux mains. Sa verge heurte mes lèvres fermées. Je prends une grande claque sur la joue qui me fait valdinguer au bout de ma corde. Il a dû trouver que je ne mettais pas assez d’enthousiasme. Cette fois, j’obéis. Son gland butte contre mon palais. Il s’enfonce jusqu’à provoquer un haut-le-cœur. Je ne peux pas vraiment le sucer. Il use de ma bouche comme si c’était un vagin, donnant de grands coups de reins. Je bave. Je me dégoûte. Ma joue en feu me pousse à la docilité. J’ai peur qu’il jouisse mais il s’arrête. D’un geste, il me fait pivoter de cent quatre-vingt degrés et avant même que j’ai réalisé ce qu’il voulait faire, il me remplit de son sexe puissant. Sa main s’abat sur une de mes fesses. Je crie.- Ta gueule ! hurle-t-il. Une salope dans ton genre, qui se laisse convaincre de faire une pipe à un inconnu, sans qu’il ait trop à insister, ne mérite que de se faire baiser sans ménagement, comme une chienne !Il a raison. S’il m’a si facilement pénétrée, c’est parce que je ...
    ... mouille. Je suis une vraie traînée. La preuve : je sens le plaisir monter de nouveau, au rythme de ses puissants coups de bite.- Permission de jouir encore, Monsieur, je ne tiens plus.Je connais deux orgasmes avant qu’il arrête.- Il me reste encore un orifice à explorer.- Oh non, vous n’allez pas… Vous avez obtenu tout ce que vous vouliez de moi mais pas de cette manière… C’est trop sale.Il se fout complètement de mon avis. Je sens la froideur du lubrifiant couler sur mon anus. Son gland vient presser aussitôt après contre mon petit trou. Je ne suis pas vierge, question sodomie, mais sans préparation, je la sens passer et, je peux témoigner d’expérience, son chibre n’est pas un petit calibre. Négligeant mes cris, il investit mon fondement. J’espère au moins qu’il a mis une capote. Il m’encule sans ménagement, ce salaud.- T’as le cul serré, chiennasse, on dirait presque qu’il est vierge. Il te prend jamais par là, ton mari ? Ou alors sa bite est trop minuscule pour te faire de l’effet ?Il continue de me sodomiser pendant ce qui me semble une éternité. Enfin il se retire et éjacule sur mes fesses.Il actionne la poulie. Je suis de nouveau au sol. Il retire les cordes avec beaucoup de délicatesse. J’ai du mal à me relever, je suis ankylosée. Il me donne un rouleau de sopalin pour m’essuyer. Il a retiré sa cagoule. Plutôt beau gosse. Et jeune.- Tu veux une clope ? Une boisson chaude ? propose-t-il.- Juste un verre d’eau.Il fait un signe à la femme. Elle se tenait dans l’ombre. Je ...