Piégé dans ma boïte (1)
Datte: 30/03/2020,
Catégories:
Hétéro
... me tenant par la taille et me caressant le ventre. Je ressens la douce chaleur de ses mains, J’hume sa douce haleine, et son parfum discret. Il me prend un coup de chaud, un frisson parcourt tout mon corps, mon cœur se met à battre plus vite, un gros paquet gonfle dessous sa braguette. Je ne me contrôle plus, j’attrape machinalement le bras de Sandra d’une main et me met à le caresser. Sandra arrête de frotter mon ventre de Félix et me regardes fixement, l’air un peu surprise. Elle remarque la protubérance entre mes jambes, Elle m’offre alors un des merveilleux sourires ensoleillé et se saisit fermement de la boursouflure ! Je pousse un gémissement de plaisir, alors, les visages se rapprochent, les lèvres se touchent, les langues se mélangent, les corps s’enlacent… DRRRRINNNNG ! le téléphone sonne ! Il sépare les deuxamants, je décroche et entend rugir mon directeur… « FELIX !!! QU’EST-CE QUE VOUS FOUTEZ !!? ON VOUS ATTEND POUR LA PRESENTATION !! » Jean François le directeur est un gros homme chauve réputé pour ses sautes d’humeurs et ses colères éruptives. Tout le monde l’appelle « Le tyrannosaure ». Je suis en panique, je me lève, j’attrape mon dossier tout taché de café, et avant de sortir du bureau vers lestoilettes, je me tourne l’air gêné vers la belle petite pomme brune: « Ne vous inquiétez pas Sandra ! Laissez tout ça, je repasse pour tout nettoyer… je file… » Dans les toilettes, c’est la misère, le pantalon noir, ça va, on ne voit rien… mais la chemise blanche, la ...
... rincer à l’eau ne fait qu’aggraver la situation. Tant pis, je passe en vitesse dans le chiotte, ferme à clef, dégrafe ma braguette et retire de monslip mon sexe qui se tend tout droit. J’astique fébrilement mon gland violacé en pensant fort à la petite portugaise qui vient de me tripoter. Il en sort presque aussitôt deux grosses giclées defoutre qui viennent souiller la lunette des WC. Mouillé, débraillé, transpirant, haletant mais soulagé, je remballe son falzar, sort des toilettes, attrape mon dossier, je n’ai nettoyé ni le trône, ni mes mains… XXe étage, j’arrive dans la grande salle de réunion, une grande salle climatisée, une grande table de conférence ovale sur laquelle se tient une assemblée silencieuse. Au bout de la table se tient Jean François le directeur, le tyrannosaure, à ses côtés le responsable des achats, puis trois représentants des clients. Tous me regardent attentivement tandis que je referme timidement la porte derrière moi. « Bon donnez-moi le dossier Félix, meugle le tyrannosaure. Qu’est-ce que c’est que cette merde toute dégueulasse? Qu’est-ce foutez bordel !? Le tyrannosaure rugit et rougit, je me décompose et blanchit… - Allez-vous asseoir et expliquez vos chiffres à nos clients… » Désarçonné par les rugissements despotiques, je commence ma conférence. Au début la voix est tremblotante, bafouillante, mais petit à petit je prends de l’assurance, le côté professionnel reprend le dessus, et à la fin de mon discours, je constate avec satisfaction que les ...