Correspondance digitale - Histoires de Sexe

Correspondance digitale

... trouver une bonne raison pour cela… dis-je en gardant quelques secondes mes doigts enfoncés en elle en entier. Elle : Vite mon cerveau se met difficilement en route pour trouver une fausse excuse et voir sa réaction alors que ses deux doigts sont complètement enfouis en moi. Je le regarde droit dans les yeux : — Disons que… mmh… j’ai des choses à faire ? Han… Ça marche comme excuse ? lui dis-je en balbutiant. Alors que mon corps a tout simplement envie de lui dire :« Continue, baise-moi avec tes doigts et ne pense même pas à t’arrêter avant de m’avoir entendue hurler ton prénom. » Je sais à ce moment-là que j’ai complètement perdu le contrôle que j’exerçais sur lui, il y a de cela à peine quelques minutes. Il a les pleins pouvoirs sur moi et mon corps. — Je suis terriblement… Han… mauvaise en négociation tu sais. Ma voix est emprunte d’une certaine sensualité. Dans le simple but de lui faire comprendre que non. Je n’ai absolument pas envie de m’arrêter. Pour autre preuve, mon bassin tente un léger va-et-vient sur ses doigts. Lui : Je l’observe et l’admire faussement hésiter, comme pour garder un peu de dignité et de contrôle sur le sort que je suis en train de le jeter. Je suis terriblement excité par cette situation mais totalement en train de reprendre le dessus sur ma partenaire. Mes deux doigts glissent en elle dans sa fente lubrifiée à souhait. — Ah oui ? Et quel genre de choses, plus intéressantes que celles-ci ? dis-je en la voyant grimacer encore un peu plus sous ...

... l’accentuation de mes coups de poignets. Je veux la faire grimper au rideau comme elle a su le faire quelques secondes plus tôt pour moi. — C’est dommage, car j’ai un certain talent pour convaincre. On entend alors des clapotis humides sous entendent l’humidité de ma partenaire, suite à la fouille vaginale que je suis en train de lui procurer. Elle : — Mmmmh Hugo, tu ne m’aides pas à réfléchir. Je… mh… ne sais pas. Peut-être ranger un peu ma tente… Il me reste toujours assez de lucidité pour le taquiner en lui disant une telle chose car entre ranger ma tente et sentir ses doigts visiter mon intérieur brûlant, le choix est déjà fait… sans aucune hésitation. Mais la cadence de ses gestes augmentent, je comprends le stratagème qu’il emploi pour me « convaincre ». — Tu parles d’un talent… Je parlerais plus de doigté… C’est là que réside ton pouvoir de persuasion. Han, mmh, Hugo. Mon visage se pose contre la peau de son cou, puis remonte le long de sa mâchoire, ma langue vagabonde fait encore des siennes, ne se gênant pas pour le goûter une fois de plus. Je ne peux pas me retenir davantage, les mots veulent sortir et exprimer mon désir. Mes lèvres se rapprochent alors de son oreille, je susurre : — Ne me ménage pas… Ne t’arrête pas… Et doigte-moi jusqu’à m’en arracher un cri. C’est une sorte de défi. Je souffle fébrilement de désir contre sa joue puis esquisse un petit sourire tentateur. Lui : — Ne compte pas sur moi pour t’aider, dis-je avec l’air déterminé à lui procurer encore plus ...