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Correspondance digitale
Datte: 30/03/2020, Catégories: fh, hplusag, jeunes, inconnu, nympho, vacances, plage, forêt, bateau, douche, revede, facial, Oral pénétratio, jeu, init, confession,
... plus en plus à l’idée de prénommer Manon de doux mots crus car je sais qu’elle en raffole. Sa fente avale mes doigts avec une telle facilité que j’entreprends d’y insérer un troisième pour me permettre de pouvoir racler toute la surface de ses parois de plaisir. Je veux qu’elle jouisse sur mes phalanges. — JOUIS, ma cochonne, m’écriais-je alors… Elle : Ma fente encaisse chacun de ses coups puissants. Il continue ses va-et-vient comme un acharné. Je sais que je suis sur le point de céder. Mon corps commence déjà à légèrement se crisper. Le plaisir monte de plus en plus vite au niveau de mon bas-ventre. Mes gémissements et ma respiration sont de plus en plus forts et haletants. — Mmmmh, Hugo je… je vais jouir… Oui… Hugooooo… Je grimace légèrement et penche ma tête en arrière. Ce troisième doigt qu’il fourre en moi a justement raison de moi. Je crie son prénom une fois de plus, me fichant des gens qui pourraient m’entendre. Ma chatte devient encore plus humide et est soudainement prise de soubresauts qui exercent une pression sur ses phalanges. Je me mords la lèvre à sang pour encaisser cet orgasme qui semble détruire toutes mes capacités à réfléchir ou à avoir un semblant de lucidité. Mes mains agrippent ses épaules afin de ne pas tomber. Tout mon corps devient encore plus faible. Comme si mes membres étaient en coton. Je le supplie maintenant d’arrêter… Étant submergée par cette vague orgasmique rudement destructrice. Lui : Mes doigts entrent et ressortent avec facilité dans ...
... cet orifice à plaisir. J’ai envie d’aller jusqu’au bout avec elle, qu’elle jouisse mon prénom d’extase. Mon membre s’est fortement redressé en la voyant gémir aussi lourdement sous mes coups de poignets puissants. — Oui vas-y… crie-le mon prénom, salope ! dis-je en faisant taper mon trio de doigt au fond d’elle avec de plus en plus de saccades. C’est alors que je la sens se surélever comme si elle était envoûtée par une force invisible, pour venir s’attacher à moi. Son corps se crispe alors tout en entier, mes mains sont trempées par les allers-retours qu’ils sont en train d’effectuer en elle. Je veux l’accompagner jusqu’à son dernier spasme orgasmique. Reculant légèrement pour apprécier le spectacle de son visage et de son corps, ma main toujours en elle, j’aperçois quelques perles d’eau naturelle couler le long de ses cuisses. Que c’est plaisant à admirer ! Elle : Je vibre et tremble pour lui à chacun de ses coups. Je tente de reprendre une certaine contenance mais cela m’est encore réellement difficile. Je crie son prénom comme il me le demande avec cette façon crue qui me fait perdre tous mes moyens. Tout ce que je sais c’est que j’en veux encore, comme s’il avait réveillé une soif que personne ne peut étancher. Et ce désir brûlant à m’en faire mal ne s’était pas amoindri lorsque j’eus cette vue sur cette colonne que j’avais précédemment sucé avec une incroyable ardeur. Il ne m’aide pas du tout à retenir mes cris, alors je m’aide moi-même, je plaque ma main droite sur ma ...