1. Anne soumise est offerte par son mari au promoteur, ses ouvriers, elle s'offre (1)


    Datte: 25/09/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    Pour ceux qui auraient manqué mes aventures précédentes et veulent visualiser, je ressemble, en moins belle, à une célèbre présentatrice Télé, métisse. J’ai 42 ans. Mariée à un candauliste acharné, 68 ans, toujours en quête d’idées nouvelles pour me prêter. En permanence bronzée intégral, née blanche et à Paris. Belle poitrine, mes bouts sont toujours dressés (une vraie chance), fesses galbées, jambes assez musclées fines. Mes cuisses ne se touchent pas, le découpé est détonnant pour les voyeurs. Mon minou est juste assez épilé pour s’offrir à la vue, en permanence, les lèvres renflées, voire gonflées. Beaucoup de « chair ». Mon mari tient beaucoup à cette vue de loin. J’ai des seins ultra sensibles, un simple frôlement m’enflamme, c’est immédiat. Mon clitoris est très délicat, un bouton électrique. C’est mon point faible. Dès la première caresse il se gonfle à la taille d’un haricot, ceci explique pas mal de mes débordements, mon manque de contrôle. Ma bouche est sensuelle, charnelle, les hommes disaient avant : « une bouche à tailler des pipes ». Oui imaginez cette dame, vous y serez. Et JE SOURIS TOUJOURS ! ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Un épisode très récent…. Pas mal de difficultés financières JUIN 2011, un mois où il fait très chaud. Je savais qu’Alain avait quelque chose à me demander. Le soir au resto : « Tu sais le promoteur X… Il hésite à donner le marché, ça va ...
    ... faire un gros trou » « Je le sais par sa secrétaire, c’est un gros vicieux, un vrai salaud, obsédé du cul, il ne pense qu’à ça, les femmes. Il exige de toutes celles de moins de 40 ans de ne porter aucun sous-vêtements ». « Il fait signer une décharge à l’embauche, « les obligations de la direction concernant la tenue vestimentaire » « Ca veut tout dire et rien dire ». « Au tribunal ça pourrait être valable, puisque la personne accepte… » « Chaque matin Il en prend une dans son bureau, elle le suce, sinon la porte … » « Toutes ont été baisées au moins une fois, 4 dans ce cas ». Il paie bien, alors elles ne disent rien, « Tu veux en venir où ? Exactement ? ». « Ma chérie, ce serait amusant, non ? Si tu veux bien, je suis sûr que tu aimerais le faire marcher. « Il se décidera … peut être » « Tu as fait pire non ?? Un vieux salaud à piéger, tu prendras du plaisir, moi aussi, après je l’embrouille... » « C’est pour quand cette petite fête ?? ». Manière de OUI. « On a rendez vous demain à 15h.. !! »… Dans la soirée Alain me baise, me fait jouir, me fait promettre d’être salope, tentante, prometteuse, affriolante. Je connais un peu ce porc, l’idée de l’exciter me plaît, il est très grossier, j’accepte. Physiquement, corpulent, bedonnant, enveloppé mais musclé (ancien maçon, comme souvent dans ce métier), puissant, large d’épaules, visage carré viril, marqué, rides profondes, cicatrices, presque chauve, des cernes sous ses yeux plissés en amandes, le regard concupiscent, environ 70 ...
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