1. Journal d'un voyeur


    Datte: 31/03/2020, Catégories: f, h, ff, fff, fhh, fhhh, grp, jeunes, frousses, couple, vacances, piscine, sport, essayage, hotel, caférestau, école, douche, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, vidéox, facial, Oral double, fsodo, échange, Partouze / Groupe fouetfesse, bourge,

    ... évidemment pris aucun équipement. Pas de mini-caméra… À moins que… oui ! J’ai toujours offert à mon beau-frère des échantillons de mes créations technologiques. Il doit bien traîner quelque part dans la maison une caméra miniaturisée que je pourrais adapter au jouet du gosse ; et même si le jouet est repéré, je pourrai toujours prétendre que je travaillais à une amélioration. Le lendemain après-midi, ma sœur à peine repartie au bureau, je retrouve l’une de mes inventions posées en évidence dans le salon. Un bricolage rapide, et voici que l’hélico pour gamin s’est transformé en drone espion. Il n’y a plus qu’à aller voir chez la voisine si celle-ci a repris ses siestes nudistes. Le décollage est parfait, l’engin ne fait aucun bruit. L’image sur l’écran de contrôle est parfaite, juste un peu instable. L’hélico passe la limite de la haie. Je peux voir la piscine de la voisine, l’herbe tondue parfaitement, les tables de jardin. Oui, la belle brune est là, toujours nue, à prendre le soleil dans la fraîcheur du bassin. Je mets le jouet en vol stationnaire. Je suis à l’à-pic de la belle voisine, de son corps nu, de ses seins gros et fermes. Je tente un zoom vers son sac : huile solaire, livre ; je distingue aussi parfaitement le vibromasseur qui dépasse un peu du fouillis. On dirait que j’ai fait ça toute ma vie. Il ne reste plus qu’à changer d’angle. Voilà ! J’ai une vue plongeante sur le pubis fourni et épais de la naturiste. La suite des événements s’annonce bien. —ooOoo— De ...
    ... retour à Paris, je ne peux pas dire que je me sois désintoxiqué du voyeurisme, vu le matage régulier opéré dans le jardin de la voisine. Au contraire, mon envie d’aller reluquer dans les appartements des coquines et des ingénues de la capitale n’avait fait que décupler. Me voici donc reparti vers d’autres aventures, toujours en quête du grand frisson voyeur. Direction l’appartement où j’avais, il y a quelque temps, pu observer les gang-bangs inversés de cette bande de libertins pleins d’imagination. Arrivé là-bas, tout semble calme. Le couple – il est 22 heures – est tranquillement installé devant sa télé. J’ai une vue parfaite sur leurs faits et gestes, mais les deux coquins sont tout à fait calmes. Ils regardent les infos du soir. Rien de bien folichon. Qu’à cela ne tienne, je n’ai pas envie d’aller trop crapahuter sur les toits. Il vient de pleuvoir. Je ne tiens pas à aller me casser une jambe, ou pire, en cherchant un autre spot de matage. Peut-être ces deux-là vont-ils se décider à baiser un peu ? Une heure se passe, et rien ne se passe. J’ai oublié l’idée de voir quelque chose d’intéressant ce soir. Le couple est toujours sagement assis devant la télé ; j’en profite pour scruter alentour pour tenter de trouver un autre spectacle. Rien ! Pas mon jour de veine. Ça arrive aux meilleurs mateurs. Tiens, voilà que madame s’extirpe du canapé, sans doute pour aller se coucher. Il est bientôt minuit. Je la perds de vue un instant, tandis que le mari se lève à son tour, farfouille ...
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