-
Journal d'un voyeur
Datte: 31/03/2020, Catégories: f, h, ff, fff, fhh, fhhh, grp, jeunes, frousses, couple, vacances, piscine, sport, essayage, hotel, caférestau, école, douche, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, vidéox, facial, Oral double, fsodo, échange, Partouze / Groupe fouetfesse, bourge,
... fait usage. Monsieur s’applique. Je zoome sur la chatte de sa femme, dans laquelle il est plongé aussi loin qu’il est possible. Grâce à mes jumelles, je peux voir jusqu’à sa langue qui travaille le clito gonflé. Madame, elle, est affalée sur le sofa, les jambes tendues vers le sol et profite au maximum des caresses buccales. Ça y est. Elle claque maintenant quelques légers coups de martinet sur le dos nu de son homme, juste pour le symbole, car celui-ci ne semble pas ressentir de douleur trop importante. Elle relève une jambe et, d’un geste leste, l’entortille au-dessus de la nuque de son esclave, le plaquant encore un peu plus entre ses cuisses. L’autre jambe suit et c’est dans un étau que monsieur, désormais, doit prodiguer son cunnilingus. Je peux distinguer sur les lèvres de madame que celle-ci parle à son homme, d’un ton que j’imagine sévère, mais juste. Je l’imagine l’encourageant, de mots durs et doux, à bien la lécher. Les coups de martinet se font plus précis, plus secs. Madame s’énerve sur le dos de sa pauvre victime, dont la peau rosit légèrement à chaque nouveau contact des lanières de cuir. Elle a un peu tourné la tête, de sorte que sa cagoule de latex ne me permet plus de suivre le mouvement de ses lèvres. Ça n’est plus tout à fait un jeu. Tortillant du bassin, madame redouble des coups de martinet sur la peau nue de son mari. Il se débat un peu, mais il ne peut se dégager, prisonnier des cuisses puissantes de sa dominatrice. Alors, reprenant une seconde son ...
... souffle, il replonge de plus belle entre les lèvres de la maîtresse SM. Voilà la raison de l’emportement de la libertine : elle s’apprête à jouir. La voici qui se convulse, retenant toujours son mari prisonnier du cunni qu’il lui offre. Son bassin s’agite en tous sens. Elle doit lui crier son bonheur dans tous les mots qui servent à asservir et à humilier. Il est là, docile, et il ne cesse de lécher le sexe de son épouse. Ça y est. Elle vient de jouir. L’étau des cuisses se desserre, elle se dégage lentement. Mon attention est détournée de la scène par des bruits en contrebas, sur un toit inférieur. Je me penche, mais l’obscurité ne me permet pas de distinguer quoi que ce soit. Sans doute un chat. Je retourne à mon couple libertin. Madame est maintenant à quatre pattes sur le canapé, sa croupe, laissée nue par la combinaison de cuir, tendue vers le visage de son homme. Il s’agrippe d’un geste doux et caressant aux cuisses de la domina, prenant soin de ne pas abîmer le cuir de la combinaison puis, de la même manière qu’il l’avait fait pour sa chatte, plonge la tête entre les deux belles fesses de son épouse. Je vois à nouveau la bouche de la maîtresse, laissée libre par la cagoule. Elle gueule comme une damnée son envie – que dis-je ? sa volonté – de sentir la langue de ce docile esclave au fond de son cul. Mais elle a beau hurler, monsieur est déjà appliqué à prodiguer une parfaite feuille de rose, la langue plantée dans l’arrière-train de son épouse dominatrice. —ooOoo— Une ...