1. Journal d'un voyeur


    Datte: 31/03/2020, Catégories: f, h, ff, fff, fhh, fhhh, grp, jeunes, frousses, couple, vacances, piscine, sport, essayage, hotel, caférestau, école, douche, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, vidéox, facial, Oral double, fsodo, échange, Partouze / Groupe fouetfesse, bourge,

    ... qui, décidément, ne comprend pas bien ce que je suis venu faire là. Il m’a proposé de la compagnie en précisant « garçon ou fille : ici, on ne juge pas ». Très bien, le gars est aussi maquereau à ses heures. Me voilà donc scotché à la fenêtre, partiellement dissimulé par la paire de rideaux brinquebalante, attendant la sortie de la jeune blonde. Or, ce n’est pas elle que je vois passer la lourde porte cochère de l’immeuble, mais bien l’agent d’entretien, dans son bleu de travail, avec sa casquette vissée sur la tête. Elle s’est de nouveau travestie, ce qui suggère qu’elle part en « mission » pour planquer quelque caméra-espionne je ne sais où dans Paris. Il me faut à nouveau la suivre. Je descends donc les escaliers, repasse devant le réceptionniste, de plus en plus intrigué par mon manège. La filature ne dure pas longtemps. La jolie blonde – ou l’agent d’entretien, devrais-je dire – se dirige tout droit vers un cinéma porno du quartier, en fait l’un des derniers de Paris. L’homme – ou la femme – y a manifestement ses habitudes, puisque la guichetière le salue comme on salue un vieux pote. Il entre dans le cinéma. Je lui emboîte le pas, m’acquittant du prix d’entrée. Une fois dans la salle plongée dans une semi-pénombre, je découvre un film qui ne semble pas avoir été tourné la veille : ici, on projette du cinéma X des années 70. À cette heure de l’après-midi, la salle de projection est déjà bien fréquentée. Des dizaines d’hommes, disséminés dans tous les coins, reluquent ...
    ... le film avec un air faussement détaché. Certains se cachent sous leurs manteaux pour se branler, d’autres le font plus ostensiblement. C’est à quelques fauteuils de l’un d’entre eux que s’assied ma jolie blonde. Elle est à quatre rangées de ce grand et jeune Black, qui astique un manche épais et long au vu et au su de tout le monde. L’air de rien, elle mate le gros chibre autant que le film. De mon côté, je choisis de m’installer juste derrière elle, de sorte qu’elle ne peut me voir qu’en se tordant totalement le cou. De toute façon, l’agent d’entretien travesti ne s’intéresse pas du tout à ma présence, plus occupée à se lécher les babines devant l’énorme engin du jeune Black. À un moment, repérant l’homme assis à quelques mètres de lui, le jeune gars se tourne vers notre voyeuse, ignorant bien sûr qu’il s’agit d’une femme, et lui lance : — Une pipe ? Piquant un fard, la coquine décline l’invitation d’un mouvement de tête. Pas plus gêné que ça, le Black continue de se branler. Il doit être là depuis un moment, car il est tout près de jouir. Profitant de ce que le mec a basculé sa tête sur le dossier de son siège, les yeux mi-clos, la jeune femme ne se gêne plus pour reluquer, jusqu’à ce que le type se mette à se convulser, un flot gigantesque de foutre jaillissant de sa bite qui semble dure comme la pierre. Ma voyeuse est venue dans ce ciné pour mater des hommes se branler : quoi de plus logique, finalement ? Mais un mouvement de foule, vers l’entrée de la salle, vient me ...
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