1. Journal d'un voyeur


    Datte: 31/03/2020, Catégories: f, h, ff, fff, fhh, fhhh, grp, jeunes, frousses, couple, vacances, piscine, sport, essayage, hotel, caférestau, école, douche, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, vidéox, facial, Oral double, fsodo, échange, Partouze / Groupe fouetfesse, bourge,

    ... lance un rapide coup d’œil alentour, pour voir si aucun client du café où nous nous sommes attablés ne peut m’entendre. Je réponds, après un long silence : — Je ne demande pas mieux qu’une coopération. Dans ses yeux, je perçois une grande satisfaction, presque un soulagement. L’entraide entre voyeurs a toujours été une tradition à Paris. Rien que de très normal. Elle a de beaux yeux, ma voyeuse, une belle peau, une belle bouche. Bref, c’est une jolie femme. — Comment tu vois les choses ? poursuit-elle.— Comme tu voudras : je suis toujours prêt à partager mes bons plans avec une belle demoiselle. Elle tombe des nues. La voici cernée, à ma merci. La voyeuse pique un fard. Je la rassure immédiatement : — Ne t’inquiète pas : avec moi, ton secret est bien gardé. Tu ne veux pas quitter ce costume ridicule ? Ce serait plus sympa pour causer, non ? Elle vide d’un trait son demi. Je l’imite. — Viens, me fait-elle, il faut que je te montre quelque chose. Elle me prend par la main. Elle est douce. Elle m’entraîne hors du café et, toujours main dans la main, nous poursuivons en direction de son appartement. Je ne vous explique pas la tête des passants, me voyant marcher dans la rue aux côtés de cet agent d’entretien… Nous arrivons finalement vers son immeuble. — C’est chez moi, me lance-t-elle. Ça, merci, je le sais déjà. Nous montons les escaliers et entrons dans son appartement. Son QG, devrais-dire : ici, ce n’est qu’un énorme barda d’objets, tous destinés à se déguiser ou à jouer ...
    ... les voyeurs. Pour moi, une véritable caverne d’Ali Baba. J’y retrouve même des ustensiles dont le brevet est à mon nom. Ma voyeuse file se changer, en me proposant de nous servir un verre. Il n’y a qu’un whisky de mauvaise qualité. Je rince deux verres à pied dans l’évier et verse la boisson à ras bord. Il faudra bien ça. En attendant le retour de ma voyeuse, j’inspecte mieux son appartement. Elle doit être actuellement dans sa chambre ; mais cette pièce-ci n’est qu’un fouillis qui révèle tout de sa passion pour le voyeurisme : jumelles, appareils photo en tout genre, dispositifs incroyables de miroirs… La voyeuse refait surface, habillée d’une petite robe qui, pour le coup, met tout en valeur de sa féminité. Elle est belle. Elle me fait craquer. Nous buvons un coup avant qu’elle ne me sorte un ordinateur portable sur lequel ne se trouvent que d’innombrables vidéos réalisées par ses soins : dans la première que nous visionnons, un jeune couple baise lubriquement dans une cabine d’un grand magasin où ma voyeuse a placé non pas une, mais trois caméras. La seconde est un florilège de dessous de jupes qu’elle a filmés grâce à un faux saxophone. Et ça n’en finit pas. Un second verre. Nous parlons de nos meilleurs souvenirs de voyeurisme. Nous rigolons beaucoup, et échangeons nos bons plans. Cette fille me plaît. Elle est comme moi, en femme : vicieuse, voyeuse, sans-gêne. Elle commence à être bourrée. Moi aussi. Je me lance. J’approche mon visage du sien, mes lèvres des siennes ; et ...