Petite annonce 3 - Histoires de Sexe

Petite annonce 3

... aimerait me regarder faire l’amour avec un autre homme, mais qu’il ne veut pas participer, seulement être un spectateur passif. Je ne me réjouis pas à l’idée de m’abandonner comme je l’ai fait sachant que mon mari me regarde et je lui en fais part. — Ça te dérangerait que je te regarde ? Je serais tout discret dans un coin de la chambre.— Non ! Pas question ! Mais il insiste, il insiste tellement que cela me montre jusqu’à quel point ça l’excite. Il prend ma main et la place sur son sexe, celui-ci est dur. Il garde ma main dessus et me regarde droit dans les yeux. Je le caresse par dessus son pantalon, il me semble que ça fait des lunes que nous n’avons pas agi de la sorte, ça me plaît, je continue. Je quitte ma chaise et m’approche, je me penche et l’embrasse amoureusement, passionnément. Je m’accroupis et défais son pantalon, voilà que je décide de tout enlever et lui demande de se rasseoir. Ses jambes sont écartées, je prends son sexe avec une main et le caresse doucement, mes lèvres s’approchent avec volupté et embrassent ce gland bien rosé, bien dessiné. Ma langue parcourt son orifice, lèche sensuellement son gland en tournant autour de celui-ci, caresse son frein, puis mes lèvres emprisonnent ce beau champignon que j’aime tant. J’engloutis son membre dans ma bouche, je le suce, je le lèche sur toute sa longueur, je le suce encore et encore, tout en prenant soin de caresser ses testicules. Mes caresses buccales se font de plus en plus rapides sur son sexe toujours plus ...

... dur, mais il met fin à ce plaisir en me relevant. Ses mains se glissent sous mon peignoir, me caressent, puis délient le nœud de la ceinture. J’écarte les jambes, il s’apprête à me caresser à son tour, mais je l’en empêche, me rapproche et m’empale sur l’engin de mes désirs. Nous nous étreignons, nous prenons le temps de nous aimer, nous nous redécouvrons, quel bonheur! J’aime sentir ses caresses sur mes seins, les pointes sont sensibles et cela ne fait qu’augmenter mes plaisirs corporels. Sa bouche caresse mes seins, suce les pointes, c’est sensible, mais tellement bon. Nos plaisirs augmentent, la cadence aussi et nos soupirs sont l’aveu de nos plaisirs et de nos désirs. Nous bougeons nos corps, nous ne faisons qu’un, l’ultime plaisir monte en nous, même si nous essayons de le retenir. Je sens un puissant orgasme m’envahir, il éclate et dure et dure encore, je laisse aller un grand soupir et, au même moment, ses mains agrippent fermement mes fesses et je sens des jets chauds exploser à l’intérieur de mon corps. Entrelacés, nous reprenons notre souffle. Je le regarde. — Nous n’étions pas en train de discuter ? On s’esclaffe, on s’embrasse et on se dit que l’on s’aime. Nous n’avons jamais repris cette discussion. Mon mari a repris la route le lendemain et je n’ai pas rencontré d’autres hommes. Le week-end venu, mon mari me suggère un marché. — Chérie, qu’est-ce que tu dirais si je te filmais ?— Me filmer ? De quoi tu parles ?— J’aimerais te filmer en train de faire l’amour avec ...