1. Jeune fille au pair, de mormone coincée à soumise (4)


    Datte: 31/03/2020, Catégories: Hétéro

    ... contrat alors ». Ainsi les jours et les semaines passaient. Jean-Luc pouvait enfin profiter de faveurs de son employé, pas complètement comme il le voulait mais c’était déjà pas mal. Un jour Il décida qu’au lieu de faire ça dans le bureau, ils allaient le faire dans une chambre : la sienne ou celle de Sharon peu importe. C’était là l’occasion de lui faire essayer le 69. Sur le fond, ça ne changeait rien à ce qu’il se passait déjà entre eux. C’était juste qu’au lieu que chacun s’occupe de l’autre chacun son tour, ils allaient pouvoir le faire en même temps. Jean-Luc avait vendu ça à Sharon comme « un instant de partage unique ». Ainsi, les deux partenaires se déshabillaient mutuellement tout en s’embrassant et se retrouvaient nus pour profiter de ce moment de plaisir. Le soir quand Jean-Luc revenait du travail, avant il se mettait à l’aise et se changeait. Avec l’évolution de ses rapports avec sa jeune fille au pair, il restait en costume cravate. Quand il se faisait sucer ainsi habillé, assis dans son fauteuil, Sharon à genou seins nus devant lui et lui en train de lui caresser la tête, il voyait le reflet de la scène dans la baie vitrée du salon. Il se voyait tel un maître avec sa soumise. C’était ce qu’il cherchait : devenir un mâle dominant. Ça faisait maintenant quelques mois que Sharon partageait des moments intimes avec son patron. Elle n’avait plus aucun scrupule avec ça car, à l’origine, elle était venue en France pour expérimenter des choses qu’elle n’aurait ...
    ... jamais faite chez elle. Bien évidemment, elle s’était imaginé autre chose mais bon …. Un jour, les grands parents du Petit Oscar sont venus lui rendre visite. Ce couple, Georges et Eveline, était les parents de la défunte Cécile. Les ayant déjà vus, même si ils ne venaient pas souvent à cause de l’éloignement, Sharon les aimait beaucoup. Jean-Luc, n’ayant plus ses parents, les appréciait aussi et particulièrement son beau-père qui voyait en son gendre, le fils qu’il n’avait jamais eu. Les deux hommes avaient des conversations parfois …. Grivoises. Même si Le beau-père tutoyait son gendre, Jean-Luc, lui, n’arrivait pas à se résoudre à lui donner la réciproque. Pendant que Sharon était avec la grand-mère, Jean-Luc s’enferma dans son bureau avec son beau-père pour discuter autour d’un verre. — Ça va ? Ça se passe bien depuis que Cécile nous a quittés ? — On fait au mieux. Oscar a pleuré en cherchant sa mère pendant un temps. Maintenant il l’a surement oublié. — Oui je vois ça …. Dis-moi ça se passe bien avec ta petite américaine ? — Pourquoi ça se passerait mal ? Elle travaille bien et je n’ai pas à me plaindre. — Elle travaille ? Elle n’est que ça pour toi ? Tu es sûr ? La jeune fille au « paire », comme paire de gros nibards ? Demanda le beau-père de Jean-Luc en mimant le soupesage d’une grosse poitrine avec ses mains. — Ça veut dire quoi ces insinuations ? — Oh allez … Soit honnête. Tu la baises c’est ça ? — Non pas du tout. — Ne me prend pas pour un con. J’ai bien remarqué ses ...
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