L'éducation de Laure
Datte: 25/09/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... aimait que l’on me regarde, que je fasse bander (et mouiller), que je m’affiche. Timide au début, j’ai vite aimé ça au point de m’habiller très pute même en son absence. Il n’aimait pas seulement que je me montre mais aussi que je fasse l’amour avec des inconnus afin de jouir du spectacle que je lui donnais. Je profitais des occasions pour me taper les types qui me plaisaient en toute liberté. La plupart du temps je faisais cela dans le studio qu’il avait aménagé dans son appartement. Il pouvait me mater en toute liberté et je me sentais en sécurité. Je le voyais en général en fin de semaine, le reste du temps je ne me privais pas de m’amuser lorsque j’en avais envie. Et j’avais très souvent envie. J’étais étudiante en commerce, j’avais beaucoup d’ami(e)s avec qui je sortais très souvent : soirées bien arrosées et souvent très chaudes qui se terminaient comme on peut l’imaginer. Je ne racontais pas tout ce que je faisais à F. Seulement les épisodes les plus croustillants dont il était friand. J’aimais particulièrement allumer un prof de marketing. Je me mettais toujours en classe ou en amphi à des endroits où il avait tout loisir de me mater. Mes jupes courtes, mes jambes entrouvertes, voire bien écartées, étaient là pour l’exciter intentionnellement. Il n’était pas insensible aux spectacles que je lui offrais. Un jour il me convoque dans son bureau. On parle études mais vite on passe à autre chose. Il me dit que je suis la plus baisarde de ses étudiantes. On ne tarde pas à ...
... s’embrasser et à baiser comme des dératés. Délicieux moment. Il me promet, si je suis bien coopératrice, que j’aurais mon examen avec mention. Je lui promets qu’il peut compter sur moi. Je deviens une vraie pute. Cela m’excite. Je n’ai plus besoin de bosser, juste ouvrir les cuisses et me faire foutre. Et en plus il me plait, le salaud. * 3 - Initiation Pute je vais le devenir grâce à F. à qui j’avais raconté mon histoire avec ce prof avec qui j’avais dû repasser à la casserole bien des fois – diplôme oblige ! F. était très satisfait de moi. « Tu deviens une vraie putasse » - me dit-il pour me flatter. « Maintenant tu vas faire la putain pour de vrai et pour moi ». Il avait tout préparé : un week-end (dans quinze jours) je devais être prête à faire la putain. Il m’avait un peu expliqué comment cela allait se passer. J’étais à la fois d’accord et un peu inquiète. Deux jours, douze clients, douze heures de cochonneries, mille euros, voire plus… tout cela n’était pas pour me déplaire. C’est lui qui choisira les clients et donnera les directives. Il a installé une petite caméra dans le studio et peux voir comment ça se passe. Je serai donc en sécurité. C’est d’accord pour samedi en quinze. Je commence à 10h jusqu’à 13h, je reprends à 15h jusqu’à 18h, même chose le dimanche. Un turbin de professionnelle. Samedi, prête. Je suis en tenue : mini en cuir, string blanc, bottines, tee-shirt. Deux petites nattes pour paraître plus… innocente. Premier client. Stupeur, horreur : un gros, ...