Madame la Directrice - Histoires de Sexe

Madame la Directrice

... fesses pour s’asseoir sur le rebord du comptoir, elle a relevé sa jupe et, ouvrant grand les jambes, me montra ainsi sa chatte dégoulinante de désir. — Mais Madame, si Monsieur… Je ne sais pas moi…— Monsieur ? Ne t’inquiète pas. Mon mari et moi avons une entente. Allez, fais-moi jouir, je te conterai plus tard comment je l’ai surpris, la main dans le sac… ou plutôt la clé dans la serrure d’une de ses serveuses. Vite, bouffe-moi la chatte s’il te plaît et fait moi miauler comme une folle. M’approchant alors de son intimité, c’était la première fois que je voyais le sexe d’une femme en plein jour. Oui, avec quelques-unes de mes petites amies, nous avions fait le soixante-neuf, mais jamais au grand jour. Alors jamais je n’avais eu un sexe de femme tout ouvert devant les yeux. — Viens, fais-moi plaisir, mange-moi bien et fais-moi jouir. J’ai alors appliqué ma langue sur les contours de sa vulve. J’ai commencé à la lécher délicatement, puis plus intensément et finalement avec la rage de lui montrer tout le bonheur que j’avais au cœur d’avoir été choisi pour cette mission si enivrante pour un jeune homme de dix-huit ans. Je l’entendais gémir et m’encourager à continuer encore et encore, lorsque tout d’un coup, après un court silence, contractant son ventre elle s’est lancée dans une jérémiade incompréhensible de HO et de HA suivi d’un simple : — OUI ! Que c’est bon ! Elle venait de jouir, me tenant la bouche fermement appliquée sur son sexe qui venait de me couler entre les ...

... lèvres. Ne lui laissant pas le temps de reprendre ses esprits et ayant appris récemment qu’un certain point G se trouvait à l’entrée du vagin d’une femme et aussi lu comment le caresser, j’ai introduit un puis deux doigts à l’intérieur de son vagin qui bouillait déjà sous mes caresses. Les recourbant vers l’avant, j’ai alors senti la petite boule toute douce et soyeuse se dissimulant quelques centimètres à l’intérieur de son sexe. Sachant maintenant que je tenais entre mes doigts la source du plus grand plaisir féminin que la terre ait porté, je me suis appliqué sur cette rondeur toute douce, toute veloutée, massant délicatement ce monticule gros comme une olive qui, d’après ce que j’avais lu, allait bientôt devenir tel un noyau de pêche et transporter sa propriétaire au septième ciel. Tout en continuant ce doux massage, je me suis appliqué à la faire vibrer, tantôt de mes coups de langue sur ses grandes lèvres, tantôt de mes sucettes à son clitoris qui se tenait dressé tel un minuscule pénis en érection. Sentant alors l’olive du début devenir le noyau de pèche de la fin, j’ai intensifié mes caresses au point G de Madame, la sentant décoller un peu plus à chaque passage. — Comment se peut-il qu’un jeune homme de ton âge sache déjà où se trouve et comment caresser le point G d’une femme… ? Oh Oui, c’est bon, n’arrête surtout pas, je sens que ça s’en vient. Oui, encore… c’est bon… oui encore encore. Encoooooore… AHHHHHHHH ce que c’est bon… OUIIIIIIIIIiiiiiiiiiiiiiiiii… Elle était ...