1. Les nièces jumelles : saison 2 (3)


    Datte: 02/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... t’arriver, Lucy ! Cela ne te dérange pas d’être devenue une salope comme ça ?! Tu me dégoutes ! — Aaaah ! C’est ta fauuuute ! C’est toi qui m’a fais aimé la bite ! Je suis accro maintenant ! J’en veux tout le temps ! Il m’en faut toujours plus ! — Petite putain ! Il m’attrape par les cheveux et me ravage bestialement. Il sort sa bite jusqu’à n’en laisser plus que le gland avant de me pénétrer à chaque fois. Il me l’enfonce plus profondément que jamais, avec une force à m’en déchirer l’anus. Le bruit de ses claquements de couilles m’excite. Il me fait mal, mais il me fait aussi du bien à la fois. Il a beau dire que je le dégoute, sa façon de me baiser me prouve le contraire. Ça lui plait que je sois devenue une pute, ce qu’il doit craindre, c’est de ne plus pouvoir en profiter. Faut que je le rassure sur ce point : — Ils ont voulu me baiser le cul, mais j’ai refusé, j’ai tenu ma promesse. Mon cul n’appartient qu’à toi ! Je le jure ! — Je sais, j’ai vu. — Mon cul sera toujours qu’à toi. Je suis désolée d’avoir été vilaine. Je t’aime tonton Eric. Eux, ils ne pourront me baiser qu’une fois, mais toi, tu pourras toujours me faire ce que tu veux, toujours. Même lorsque je serais vieille et mariée, tu pourras toujours me prendre quand tu veux, je te veux ! — Raah ! Sale pute ! — Oui, mais ta pute à toi ! À personne d’autre ! Je te le promets ! — Aaaah ! MA pute ! Il se penche vers moi et me mord l’épaule. Je crois qu’il n’a jamais eu autant envie de moi. Je ne pensais pas qu’un ...
    ... homme pouvait autant désirer une femme. Plus que ces coups de butoir, cette passion qu’il me transmet me fait chavirer. Cela me donne envie de me donner à lui, sans limite, sans condition. J’ignorais que je pourrais ressentir ça, me laisser autant aller. Il est en train de faire de mon cul un cratère béant, et j’en redemande. Je nr pourrais sans doute plus marcher demain, mais je m’en fou. Si on me pose des questions, je serais fière de crier au monde que je me suis faite défoncée par mon oncle. Il m’utilise comme sa chose, mais en même temps, il me fait sentir précieuse, unique. Comme si j’étais la plus belle femme du monde, la plus désirable, la plus bandante. Si Megan nous regardait en ce moment, elle en serait jalouse. — Je suis désolée ! Je suis désolée ! fais-je en pleurant. Ce ne sont pas des larmes de douleur, ou de tristesse, mais de bonheur. Le plaisir de connaitre une baise aussi intense, et un amour aussi profond. J’ai dis que j’étais désolée, mais je ne le suis pas. Si c’est ce qu’il lui faut pour qu’il me refasse sentir ça à nouveau, je recommencerais à baiser avec un autre juste devant son nez, rien que pour le plaisir qu’il me punisse encore. Je veux le rendre fou, et qu’il me fasse partager sa folie à coups de bite et de cris rauques. *** Salope ! Salope ! Salope ! Comment peut-elle me faire un coup pareil ? Ne voit-elle pas combien elle me fait du mal ? Ne ressent-elle rien pour personne ? Je veux lui ramoner le fion comme jamais jusqu’à qu’elle comprenne ce que ...
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