1. Les nièces jumelles : saison 2 (3)


    Datte: 02/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... délicieuse paire de nichons qui me fait rêver. Je n’en ai jamais vu d’aussi beau, d’aussi parfait. J’ai toujours envie de les presser et d’en sucer leurs merveilleux tétons. Je suis un obsédé : À chaque fois que je vois une de mes nièces avec un décolleté, je bande, et j’ai l’envie insoutenable de la déshabiller pour les voir. Le pire, c’est que maintenant qu’elles le savent, elles s’amusent à en jouer. Elle jouit une nouvelle fois par le cul. Elle m’épate, je ne savais même pas que c’était possible de jouir par là, alors jouir autant... J’estime qu’elle a eu son compte, c’est mon tour maintenant, je n’en peux plus. Si je m’étais laisser aller, je lui aurais éclaboussé la gueule de foutre au moment où elle m’a sucé, mais j’avais trop besoin de l’enculer et de lui faire ressentir ce que je ressens. Je sors de son anus et lui ordonne de se mettre à genoux. Elle s’exécute, mais lentement. Elle est épuisée, c’est à peine ou elle sait où elle est. Elle reste néanmoins assez lucide pour continuer à jouer les chiennes : elle s’assied sur le sol, les bras entre ses jambes écartés, et ouvre grand la bouche en fermant les yeux pour m’inciter à me finir sur elle. — Vas-y tonton, salis-moi, me lance-t-elle. — Je vais te souiller ! Salope ! — Oui je suis la salope de mon oncle, je veux être recouverte de son sperme. Je m’astique devant son visage, ma queue hurle à l’agonie. La voir dans cette position en train de m’attendre à raison de mes dernières résistantes. Mes couilles sont en ...
    ... train d’éclater. Je lui gicle une première grosse trainée en plein sur la figure, cela coule sur son nez. D’autres aussi copieuses arrivent. Je jouis comme un tuyau d’arrosage. Je me sens comme un animal qui a besoin de souiller sa femelle pour marquer son territoire ; que les autres mâles sentent l’odeur de mon sperme et comprennent qu’elle est déjà prise, qu’elle est ma chose. Je vide tout ce que j’ai sur elle, je beugle tout le long tellement c’est bon. J’éjacule comme si mon foutre était un poison, et que j’expulsais toute ma colère et ma frustration. À chaque jet, je m’apaise un peu plus, la quantité monstrueuse que je lui envoie au visage est là pour lui démontrer combien elles étaient grandes. Ma queue continue de pulser alors que plus rien n’en sort. Je me sens mieux, soulagé dans tous les sens du terme. Je m’étais pas rendu compte que j’en avais tant besoin. Une chance que nous ayons eu cette "conversation", je ne sais pas dans quel état j’aurais été le lendemain. — C’est bon ? J’ai été une bonne fille tonton ? Je suis pardonnée ? me demande-t-elle avec son air faussement innocent dégoulinant de sperme — Oui, tu es pardonnée. Ça ira pour cette fois, mais ne recommence pas. *** Waow, cette baise. Il m’a enculée si fort que mon cul ne s’est toujours pas refermé. Je suis complètement souillée. Il m’a giclé dessus comme pour marquer son territoire. J’ai en tellement sur le visage qu’on ne doit presque plus voir ma peau. Je suis obligée de me dégager les yeux avant de pouvoir ...
«12...4567»