Un soin particulier
Datte: 02/04/2020,
Catégories:
fh,
médical,
Collègues / Travail
fsoumise,
Oral
pénétratio,
fsodo,
init,
f+medical,
Debout dans la salle d’attente, j’attends patiemment que la porte s’ouvre, un peu ennuyée de déranger mon kiné à une heure tardive pour une étourderie de ma part… Il faut dire qu’aujourd’hui, préoccupée par mon travail, j’étais dans de bonnes prédispositions pour commettre des inattentions. Arrivée avec des documents importants à ma séance de kiné hebdomadaire, je suis malencontreusement repartie sans… Un coup de téléphone plus tard, me voici à nouveau au cabinet, venue récupérer mon précieux bien ! La porte s’ouvre et Julien, avec un grand sourire, me fait signe de le suivre. Quel homme charmant… J’ai choisi mon kiné au hasard de l’annuaire, dans un moment où mon dos me faisait atrocement souffrir et je ne regrette pas mon choix. Il m’a rapidement soulagée et mes séances avec lui sont toujours un moment de détente et de bien-être. Plutôt bel homme, la quarantaine, cheveux châtains coupés court, yeux verts, et un corps athlétique témoin d’une pratique régulière de la natation, qui ne me laisse pas indifférente. Son charisme, son calme, ajoutent à son pouvoir de séduction. Jeune mariée, je me contente d’apprécier les moments passés en sa compagnie, dissimulant le trouble qu’il crée en moi lorsque ses doigts effleurent certaines parties de mon corps au cours de nos séances. Régulièrement, il me complimente sur mon corps musclé et j’apprécie innocemment le regard du professionnel. Quelques rêves moins prudes viennent égayer mes nuits pour le plus grand bonheur de mon mari, ...
... loin de s’imaginer l’identité du personnage principal de mes scénarios nocturnes… — Je suis désolée de vous déranger à cette heure, je suis vraiment étourdie…— Pas de problème, je reste souvent assez tard à mon cabinet. Son regard sur moi est intense, déstabilisant. Gênée, je me détourne et cherche du regard l’objet de ma visite. — Vos documents sont là ! Il me montre un petit bureau dans un coin de la pièce. — Savez-vous que vous êtes réellement charmante ? C’est un plaisir de vous avoir en soins chaque semaine ! Je rougis jusqu’aux oreilles et m’en veux aussitôt de ce comportement puéril mais malheureusement incontrôlable. Une partie de moi aimerait lui dire que moi aussi je le trouve charmant mais mon éducation me suggère de mettre un terme rapide à cette conversation. Je me dirige rapidement vers mes documents et maladroitement, et sous le coup de l’émotion, en fais glisser la moitié au sol… — Ne soyez pas gênée. Il s’agenouille près de moi pour m’aider à ramasser les feuilles éparses. Je sens qu’il devine mon trouble. Il a vu la brèche dans ma volonté et s’y engouffre : — Il me semble que je peux vous apporter plus de bien-être que d’habitude… Devinant la cause de ma réticence, il ajoute : — Je sais que vous êtes mariée mais ne considérez pas ma proposition comme une tromperie pour votre mari, il s’agit d’une prolongation de ma contribution à votre rétablissement. Son sourire est enjôleur, sa voix suave. — Je… Je ne peux pas…— Mais vous le voulez, tout comme moi ! Je le ...