1. Enzo en moi


    Datte: 02/04/2020, Catégories: fh, jeunes, médical, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, jeu, confession, prememois, h+medical,

    ... se redressa sur le fauteuil et fit glisser la bretelle de mon soutien-gorge. Il dessina le long de ma poitrine de longues arabesques qui me chatouillèrent et insista longuement sur l’un de mes tétons dressés. — Les seins… Le nombril… Les hanches… Puis à nouveau les tétons… dit-il en faisant voyager le feutre sur ma peau. Je n’irai pas plus loin… ajouta-t-il d’un sourire ému. Il me parut naturel de baisser ma culotte et guider sa main vers la fente de mon sexe. Le feutre y rentra doucement et me procura de puissantes sensations de plaisir. Autour de nous, le groupe observait sans rien dire. Sous le coup de l’émotion, Enzo lâcha le feutre qui se fracassa contre le sol. Ses doigts vinrent longuement caresser la partie la plus secrète de mon corps. Je profitai infiniment de ces instants de communion. Le souffle chaud et rapide de l’étalon venait réchauffer mon ventre et mes reins. Son sexe s’était transformé en un morceau de bois épais prêt à accomplir son devoir. Je me rapprochai doucement des cuisses du garçon. Il me prit dans ses bras. Friedrich s’agenouilla à côté du sexe dressé du jeune homme, le prit entre ses doigts et le dirigea vers ma fente. Lorsque le contact se fit, il lâcha le sexe du garçon et revint à sa place. Le plus doucement du monde, je sentis glisser entre mes cuisses le délicieux outil de l’homme. Une fulgurante série de frissons me parcourut. Un mouvement mécanique de va-et-vient se mit en route. — Je suis dans une période où nous pouvons faire un enfant… ...
    ... lui chuchotai-je à l’oreille.— Nous allons faire de notre mieux… répondit-il tout en fermant les yeux de plaisir. Je m’accrochai à son torse comme à la croupe d’un jeune étalon qu’il fallait maîtriser. La sueur de nos corps se mélangea à l’encre noire qui coulait doucement sur notre peau. L’odeur du jeune mâle me subjuguait. Nos râles redoublèrent de puissance, devenant de plus en plus impudiques pour notre auditoire. Qu’importe… Le puissant désir de nous unir nous avait transformés en animaux. Antoine s’approcha de nos organes génitaux. — La nature dans toute sa splendeur… Il ausculta de la main la verge qui s’enfonçait dans mon corps, puis examina mes lèvres humides. Et les testicules pleins à craquer qui venaient taper violemment contre mes fesses. — Mon rêve de voir un accouplement en direct… chuchota-t-il. Enzo me possédait de plus en plus violemment. Sa verge s’enfonçait toujours plus loin dans mon ventre. Là où la nature pouvait accomplir son devoir. Nous repoussâmes longtemps le moment fatidique. Plusieurs minutes. En jouant sur la rapidité des mouvements, la force des caresses, le rythme des râles, les doigts qui s’accrochent toujours plus serrés, l’éjaculation que l’on retient. Et soudain… Enfin… Violemment. Définitivement, Enzo vida son immense désir en moi, oh moi… Un liquide chaud et doux envahit mon ventre. En quantité prodigieuse… Dans mon ventre… Et jusque sur ses couilles brûlantes de désir, jusqu’à tacher même le fauteuil qui nous avait accueilli. Antoine ...
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