Jet Set Inc - Histoires de Sexe

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... avions parlé à l’époque.— Et depuis, pas de repentir ?— Je vous vois arriver, Axel ! Non, désolé pour vous, mais vous ne récupérerez pas Émilie, maintenant qu’elle est à moi. Ou bien attendez mon décès !— Ça fait quand même un paquet d’années à attendre. À moins que je n’aide le destin…— Hahaha ! C’est une éventualité ! Il pose sa main sur celle d’Émilie : — Émilie et moi avons une association, un échange de bons procédés. Elle est ma maîtresse, mon inspiratrice, mon égérie, et plein d’autres choses encore. De son côté, elle vit la grande vie, elle s’étourdit parfois dans d’autres bras. Parfois même, devant moi, elle joue les salopes et les putes, si-si ! Et tout le monde est content ! Elle proteste faiblement : — T’exagères, mon chéri !— Toi et moi savons de quoi il en retourne, n’est-ce pas ? Mais il ne convient pas de le crier sur tous les toits. Axel, ici présent, peut être mis dans la confidence, c’est tout de même grâce à lui que nous sommes ensemble ! Un peu désabusé, je réagis cyniquement : — Et croyez bien que je le regrette ! J’aurais dû séquestrer cette petite débauchée pendant qu’il en était encore temps.— C’était reculer pour mieux sauter, Axel… Avec désinvolture, il fait glisser une attache de la robe le long de l’épaule dénudée d’Émilie, dévoilant aisément un mignon sein en poire que je connais très bien. Je constate que le téton est orné d’un petit anneau en or qui le transperce : — Inutile de vous présenter cette adorable petite chose, n’est-ce pas ?— Euh ...

... non… Au lieu de s’offusquer d’avoir un sein à l’air en plein restaurant, Émilie sourit, toujours aussi lumineuse. Nonchalamment, Hugo joue à présent du bout du doigt avec l’anneau d’or qui est rivé dans le téton : — Mais ceci, vous ne connaissez pas encore.— Euh non, je l’avoue…— Axel, je vous propose de passer tout de suite au dessert, puis de redescendre prendre notre repas ensuite. Je crains comprendre ce qu’il me suggère. Néanmoins, pour en avoir le cœur net, je préfère poser directement la question : — Vous voulez dire quoi par-là ?— Vous avez parfaitement compris. Je vous propose de monter dans notre chambre afin de bénéficier des charmes de notre amie commune. Bien sûr, je me ferai un plaisir de vous voir donner du plaisir à ma compagne adorée.— Ah oui, carrément ! Un peu éberlué par la tournure des événements, je me tourne vers mon ancienne compagne de jeu qui me sourit toujours, les yeux brillants, adorablement vicieuse. J’ai quelques difficultés à détacher mon regard de son sein si appétissant qui hante toujours mes nuits et mes regrets. Néanmoins, j’arrive à lui demander : — Et toi, Émilie, tu es d’accord ?— Bien sûr que je suis d’accord, surtout avec toi ! Oui, la plupart des femmes sont en réalité des grenades prêtes à être dégoupillées ! C’est sur cette dernière constatation que j’arrête la narration.La morale de cette histoire ? Il n’y en a pas…Sauf peut-être celle-ci : quand on joue avec une grenade dégoupillée, même si ça peut être très profitable dans un ...