Service d'étage - Histoires de Sexe

Service d'étage

... choses lentement, au ralentis, dans le détail, un travail d'orfèvre. Rapidement tu descend vers ma rondelle et la caresse avec la pointe de ta langue. Tu pousses un peu, tu forces le passage et me bouffes allègrement le cul. Je suis aux anges, je vois le plaisir que tu prends a me faire autant de bien et ça me comble de petits frissons et spasmes incontrôlés. Tu t'y prends si bien que bientôt un orgasme m'envahit, un orgasme sans éjaculation, mais tellement intense. Ce spectacle laisse notre "invité" pantois et a le mérite de lui rendre toute sa vigueur. Il revient dans la mêlée et se poste derrière toi. Il te prends en levrette d'abord doucement, puis accélère progressivement le rythme. Il ose quelques claques sur les fesses, et comme tu ne dis rien, il alourdit un peu son geste. Ça te fait sourire. Sous les coups de boutoir tu n'arrives plus a t'occuper correctement de mon petit trou, alors tu remontes et recommence a me sucer, enfin tu essaies tant bien que mal. La chaleur remontes dans tes reins, tu as du mal à garder tes esprits, tu es comme enivré par tes hormones sexuelles, tu commences a perdre contrôle. C'est le moment que je choisi pour glisser sous toi. Thomas se retire, pressentant ce que j’attends de lui. Je prends sa place dans ton minou détrempé. Il pointe alors sa queue fine mais plutôt longue sur l’accès traditionnellement interdit. Il laisse tomber un filet de salive sur son gland et commence a pousser pour te ...

... dilater la rondelle. Tu es si excitée que le passage n'est pas si difficile. Tu lui mets même une main sur les hanches pour l'attirer plus fortement en toi. Nous commençons alors à bouger de concert, je sens sa bite a travers ta fine paroi vaginale. J'imagine que c’est la même chose pour lui. Nous ne faisons pas trop attention a cette sensation, préférant nous concentrer sur ton plaisir. Toute ta gorge a déjà changé de couleur, tu peines a garder la mâchoire fermée, et des râles sortent sans contrôle de ton corps. Nous allons de plus en plus vite, le sang nous monte a la tête, et quand je sens que tu es à point, je glisse une main mouillée sous ton ventre jusqu’à ton clitoris. A peine mes doigts entrent en contact avec le pistil de ta fleur, que tu exploses littéralement dans un orgasme inconnu et convulsif. A cette vue nous ne pouvons nous retenir plus longtemps et jouissons en simultané au plus profond de toi, dans ce corps encore ultrasensible, cela te déclenche un second orgasme d'affilé, moins spectaculaire mais beaucoup plus fusionnel et intimiste que le précédent. Nous roulons sur le coté la respiration profonde, essayant de reprendre notre souffle. Et riant de ces fantaisies, Thomas se rhabille à la va vite, il est toujours "en service" dit-il en retrouvant son rire coquin. Mais si on en croit la devise de l’hôtel : "Faire plaisir à notre clientèle à 100%". On peux dire qu'il a bien travaillé, et qu'il a fait honneur a sa profession.