1. Deux salauds, une femme, un cocu 1


    Datte: 26/09/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... faire reluire. Hervé te dévore des yeux. Tu n'es pus une étrangère pour un gars qui se repaît de l'examen intéressé de ton corps, des nibards au con ou au cul et du reste. Regarde comme il bande pour toi. Tu n’auras pas la cruauté de lui demander de remballer son matériel. Ça ne se fait pas. - Et baiser une femme à deux ça se fait ? C’est la nouvelle règle? Je suis curieuse d’avoir l’avis de Patricia. Tu fais avec moi ce que tu n’as pas le courage de demander à ta propre femme. Deux types ont coincé ma femme sortant de la salle de bain, dans l'entrée. L'un, Blaise,est, je l'apprends, un habitué de la maison, un amant régulier dont Thérèse me cachait l'existence. Il est venu avec un renfort prénommé Hervé. L'amant vit avec une femme que Thérèse appelle Patricia. Thérèse me croit sorti, elle ne juge pas utile de m'appeler au secours. Moi je tombe des nues en entendant qu'un autre homme vient la baiser brutalement à domicile depuis longtemps et j'ai un réflexe de cocu furieux; je n'interviens pas, qu'elle se démerde avec son baiseur ! Il lui fait mal; tant mieux! Elle aime ça, puisqu'elle ne m'en parle pas. Je suis curieux de voir ou entendre ce qui va suivre. Blaise ne veut pas perdre de temps: - Bon, on n’avance pas. Si je le veux, tu vas te soumettre. Tu as le choix, ou tu te montres gentille et tu coopères ou nous nous montrons méchants et ta quetsche passera un mauvais quart d'heure, nous te ramonerons la cheminée jusqu'au sang. Tu te démerderas pour expliquer tes ...
    ... douleurs à ton mari quand il voudra te tringler maritalement. Tu n'as pas osé te plaindre jusqu'à ce jour, tu ne commenceras pas ce soir. Alors ? Choisis et tais-toi. - Tu appelles ça un choix! C’est un abus. - Des passants nous ont vus entrer chez toi sans forcer la porte. Trêve de discussion, buvons le verre de l’amitié et de la réconciliation. Tu as toujours ce cognac ou ce whisky? On trinque, tu retrouveras la forme et tu me remercieras pour le bel après-midi. Il passe devant les deux autres, va au salon se servir dans mon bar et lève son verre sans doute : - A ta santé et à la nôtre. Comme dit l’autre, A notre santé, à nos chevaux, à nos femmes et à ceux qui les montent. Aux cornes de Paul et à nos amours. Souris et avale. Ne grimace pas, elle est fameuse ta "vieille réserve", cul-sec. Tire la langue, fais voir à Hervé: elle n’est pas irritée,elle fera l'affaire, ta bouche est désinfectée, prête pour sucer. C’est trop bon, allez encore un verre pour oublier ta rancœur. Avec moi, cul-sec. C’est du velours, enfin tu souris. l'alcool détend et arrondit les angles. Façon de parler puisque tu as plutôt des rondeurs que des angles à caresser. - Ne pince pas, cochon. Dis à Hervé de tirer ses pattes de mon cul. Vous êtes enragés ! Quel culot, il ne se contente pas de baiser ma femme, il vide mes meilleures bouteilles. Et après deux verres de cognac, il prétend lui faire avaler un whisky pour chasser les idées noires? L’alcool va surtout chasser ses dernières défenses. L’alcool va tuer ...