Claire se donne du plaisir
Datte: 04/04/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... grande surface sur sa droite. Une fois dessus deux offres s’imposaient à elle. Soit un coin désert ou un endroit avec plus de passage. Qui pourrait lui donner ainsi du piment à sa séance de masticage. Elle prit la décision de se stationner proche de l’entrée du magasin. Un besoin chez elle, de faire ses cochonneries devant témoins. Heureusement pour Claire, une place se libérait. Elle était tellement nerveuse qu’elle se prit à plusieurs fois avant de se garer sa voiture dans son emplacement. Les yeux exorbités, la bouche sèche, elle était la digne représentante de la perversion. Mais alors qu’elle se mettait à son aise, elle perçus déjà deux jeunes hommes approchaient. N’était-ce pas pour cela qu’elle était là. Elle bascula son siège en arrière. Ouvrit en grand le compas de ses jambes. Elle écarta ses lèvres avec deux doigts. Mettant à nue le rouge de son sexe qui tranchait avec le foncé de ses poils. Il était crémeuse, pleine de petit lait épais, qu’elle récupérait de ses doigts pour les mener jusqu’à sa bouche, pour les lécher. Puis les replongea dans son antre, alors que les deux jeunes passaient devant ses yeux. Comme souvent dans ses moments, elle faisait appel à son éternel fantasme. Toujours le même. Avec les même scènes. Seul les acteurs changeaient. Pour cela, elle ferma les yeux et lança le scénario. Pianotant son sexe de ses doigts. Jouant le morceau qu’elle connaissait le mieux, pour l’avoir à maintes fois joué. De sa main libre, elle malaxa son sein à travers ...
... son chandail. - Mais regardez-moi ça les potes, elle est en train de se masturber. Quand Claire comprit qu’il était question d’elle, il était déjà trop tard, la portière s’était ouverte à la volée. Elle fut tirée sans aménagement, hors de la voiture, et pousser jusqu’à un fourgon stationnait sur la file opposée. Ils la poussaient à l’intérieur. Elle ne comprenait pas pourquoi elle se laissait faire. Pourquoi elle ne criait pas. Ni comment le danger pouvait accentuer son excitation. Une essence de bois lui vint aux narines. Elle se sentait dévisagée. Voir déshabillée. Ils étaient au nombre de trois. Un grand brun, un plus petit, lui aussi brun mais barbu, le dernier était blond, roux. Dans un silence de cathédrale, ils procédèrent avec leurs yeux à un inventaire serré de ses formes féminines, avant de se servir. Pour seule défonce, elle lâcha un gémissement. Elle fut alors ballotée entre eux. Leurs regards avaient changé. Ils lui souriaient de manière vicieuse. Se murmurant entre eux. Ses oreilles perçurent tout de même des miettes de mots. Des paroles à ne pas mettre aux oreilles des âmes sensibles. Malgré ça, son cerveau lui répétait sans cesse : - Je le veux… je veux être à eux… je veux être souillée… je veux les sentir me prendre… Elle se sentait faible et lâche à la fois. Quelques mains effleuraient ses fesses. L’un d’eux la prit par la taille. Elle sentait ses mains sur le tissu léger de sa robe. Une larme de mouille lui couler sur le haut de sa cuisse. Ils lui soufflaient ...