1. Élisabeth suite


    Datte: 04/04/2020, Catégories: Mature, Partouze / Groupe Inceste / Tabou

    ... Tiens! Je te propose un jeu, dans les jours qui viennent, on l'aguiche à mort, et on refuse toute privauté. Qu'en penses-tu?- Oui, ça peut être amusant. Mais s'il se comporte comme tu le penses, nous ne sommes pas près de baiser... - Deux ou trois jours c'est tout ! Pour son éducation...- Si tu veux, mais moi je ne le sens pas bien ton truc... On va perdre deux ou trois jours, c'est tout ! ... Enfin si tu y tiens.Dans les jours qui suivirent, Vincent n'eut plus l'occasion ni de baiser sa mère, ni de se livrer à des ébats sexuels en compagnie de sa blonde amie. Malheureusement pour sa tranquillité, s'il ne pouvait plus assouvir ses désirs avec ces deux belles salopes, elles ne se privaient pas de maintenir son excitation au maximum. Chaque fois qu'elles le pouvaient, elles dévoilaient, comme par inadvertance, leur joli cul toujours sans culotte ou une admirable paire de seins au sillon profond et aux pointes bien dardées. Toujours par inadvertance, elles caressaient en passant sa verge à travers son jean, surtout lorsque celle-ci était déjà bien bandée, excitée par ce que le gamin venait de mater. Vincent, toujours aussi timide malgré son intimité avec les deux femmes, tentait bien de les prendre dans ses bras pour ...
    ... obtenir plus, mais elles se dérobaient ou le repoussaient carrément. Le pauvre garçon ne savait plus que penser, mais il n'osait toujours pas les forcer. Frustré, il avait repris ses observations par le trou dans le mur de la salle de bains. Elizabeth qui se doutait de ce qu'il faisait, ne se privait pas de se masturber le minou avec application, de se lécher les doigts mouillés de foutre, et même de se servir du manche de la brosse à cheveux comme d'un godemiché. De savoir son fils en train de la mater derrière le mur l'excitait au plus haut point, et elle jouissait vraiment sur ses doigts ou sur le manche en bois de la brosse. Si Vincent avait été un peu plus assuré, il aurait forcé la porte de la salle de bains au plus fort de l'excitation de sa mère qui aurait alors cessé son petit jeu cruel et cédé avec délices aux assauts de son grand fils. Au lieu de cela Vincent restait dans sa chambre n'ayant d'autre ressource que de se masturber à grands coups de poignet. Il eut également l'occasion de voir ses sœurs nues. Plus sages qu'Elizabeth, Agnès et Isabelle ne se masturbaient pas, mais leurs corps jeunes et pleins, leurs seins fièrement dressés, leurs petites fesses bien découplées ajoutaient à ses envies et à sa frustration. 
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