1. Enfin libre


    Datte: 04/04/2020, Catégories: prost, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe

    ... autre porte débouchant sur une buanderie, ouvre une grande armoire chauffante dans laquelle il accroche les vêtements. Sandra en profite pour examiner la vaste pièce où elle se trouve. C’est une salle commune comme dans les fermes anciennes, les murs crépis à la chaux. Mais avec tout le confort moderne. Face à la porte d’entrée, un coin cuisine très bien équipé. À côté, une cheminée ouverte dans laquelle brûle quelques bûches. Mais ce n’est pas ce foyer qui à lui seul peut procurer la douce chaleur qui règne dans toute la maison. — Je tiens à vous remercier, sans vous, je serais sous la pluie et j’aurais mis beaucoup de temps pour rejoindre le village.— D’autant que vous n’auriez rien trouvé comme hébergement. Il s’affaire devant la cuisinière. Puis, il prépare sur la vaste table massive, deux couverts. — Mais, je n’ai pas faim, je ne veux pas vous déranger.— Asseyez-vous, le menu n’est pas gastronomique, je mange peu le soir. Obéissant, elle s’installe. Il apporte une soupière ancienne. La couleur du brouet ne lui inspire pas trop confiance, elle tend son assiette par politesse, n’acceptant que très peu de potage. Elle porte avec précaution la cuillère à la bouche. Surprise : le goût est exquis, elle regrette aussitôt de ne pas en avoir accepté davantage. Ensuite une omelette aux champignons, délicieuse aussi. Enfin le plateau de fromage. Le repas s’est déroulé en silence, Sandra ne trouvant pas de sujet de conversation, son hôte restant silencieux. Ensuite, il lui propose : ...
    ... café, thé ou infusion. — Je prendrai comme vous.— Personnellement j’aime bien le tilleul, cela me détend. Pendant qu’ils buvaient leur tisane, il lui a précisé son emploi du temps pour le lendemain. — Je pars travailler à sept heures moins le quart. Je vous accompagnerai soit au bout du chemin, soit jusqu’au village, comme vous le voudrez. Je vous réveillerai à six heures afin que vous soyez prête. Vous prendrez le petit déjeuner avant de partir.— Cela me convient parfaitement.— Venez, je vais vous conduire à votre chambre. Comment, à ma chambre, alors, cela veut dire qu’il ne va pas me baiser ? Il ne sait pas profiter des occasions, ou je ne suis pas à son goût, à moins qu’il soit homo. Pour moi, il me plaît bien, cela aurait été un plaisir, pas une punition. La pièce où elle est entrée est meublée à l’ancienne, lit haut, grande armoire, rideaux fleuris. Il y règne une agréable chaleur. Il s’est retiré, lui souhaitant une bonne nuit. Quelques coups frappés à la porte l’ont tirée de son sommeil. Il est six heures. Elle a passé une merveilleuse nuit, le matelas était souple et la couette très chaude. — Voilà, je me lève, lui a-t-elle dit.— Vous pouvez aller dans la salle de bain, vous y trouverez vos habits secs. Elle a trouvé sur la table de la cuisine tout un assortiment d’aliments qui lui a permis de composer le menu de son choix. À l’heure prévue, elle est prête. — Nous allons y aller, il me faut être à l’heure au travail. Où désirez-vous que je vous dépose ?— Au village, ...
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