Enfin libre
Datte: 04/04/2020,
Catégories:
prost,
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
... soulagée, heureuse même, pour la première fois elle avait pu parler de sa situation, on l’avait écouté sans la critiquer. Elle a naturellement servi le dîner, mais a été invitée à manger à leur table. La discussion a roulé sur beaucoup de sujets d’intérêt général, mais rien de personnel. Après avoir pris le café, ils ont conduit l’infirme dans la chambre. Son mari est sorti. Elle a demandé à Sandra de l’aider à se déshabiller et se coucher. Cette dernière s’interrogeait pour savoir comment la suite allait se dérouler. — Allez, mon mari vous attend. Nous nous aimons beaucoup. Depuis mon accident, il y a deux ans, nous ne pouvons plus avoir de rapports intimes. Mais il a des besoins charnels, ce qui est normal à son âge. Nous avons convenu qu’il était logique qu’il aille quérir ailleurs, en toute discrétion. Mais jusqu’à présent, il n’avait trouvé aucune partenaire qui lui convienne. En rentrant lundi, il m’a indiqué qu’il avait découvert la perle rare, vous. Il a voulu que je fasse votre connaissance, je craignais une intrigante, mais je suis rassurée. Allez vite, il vous attend.— Bonsoir Madame et… merci. Monsieur l’attendait. Il lui a fait l’amour d’une manière formidable, la traitant comme une dame. Puis est allé rejoindre son épouse. Le samedi après-midi, les deux femmes ont effectué une longue promenade, ont beaucoup parlé. Madame a appris à Sandra que tous deux étaient avocats, avaient un cabinet et travaillaient avec plusieurs assistants. Puis, après le dîner, comme ...
... la veille au soir, elle a aidé Madame puis est allé rejoindre Monsieur. Le week-end a été merveilleux. Le lundi matin, ils l’ont ramenée en ville. Pendant le trajet, c’est la dame qui lui a remis l’enveloppe. Arrivés devant leur domicile, Monsieur lui a appelé un taxi pour rentrer, il ne tenait pas à ce qu’Eddy soit vu près de chez lui. Elle a trouvé l’appartement vide. Sur la table, un petit mot dans lequel son compagnon lui indiquait qu’il s’absentait pour quelques jours. Elle a été surprise qu’il ne le lui en ait pas fait part le vendredi. Puisqu’elle avait du temps libre, elle a décidé d’aller chez le paysan pour le rembourser, mais surtout pour retrouver ce type si gentil, si bien et le payer en nature s’il le désirait. Elle a consulté les horaires du car. Elle pouvait y aller, après midi, se rendre à pied chez lui. Une fois là-bas, elle saurait se faire inviter, sinon, elle aurait le temps de revenir. Aujourd’hui elle a mis des baskets et le parcours ne lui semble pas très long. Quand elle s’est approchée, contrairement à la dernière fois, elle a été accueillie par trois chiens menaçants. Étonnée, mais surtout effrayée, elle s’est plaquée contre un mur. La porte de la maison s’est ouverte, et son hôte est sorti, un fusil à la main. — C’est toi ! Avance en levant les bras. Terrorisée, elle s’est approchée. L’homme l’a fait entrer, sans cesser de la tenir en joue. Quand elle s’est retournée, elle a vu le visage tuméfié de son interlocuteur. — Je ne savais pas comment te ...