1. Parenthèse avec ma tante (1)


    Datte: 05/04/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... avec ses yeux de biche. Et comment qu’elle me plaisait, je n’eus qu’une seule envie facile à deviner. Je me mis face à elle et tout naturellement, elle me tendit ses lèvres que je saisis à pleine bouche. Tandis que nous nous embrassâmes, ma main mit son habit de scaphandrier et rien qu’en effleurant son intimité, mon scaphandrier se perdit dans les abysses de sa blonde. Il fut le seul à le voir sous le souffle haletant de Chantal. Un monde étrange se forma autour de lui, il y vit une source très pure s’écoulant de cette rivière à diamants tant convoitée, telle une oasis près d’un écueil, chaude comme la tendresse, espérante tel un désert qu’un nuage de pluie caresse… Avec une infinie tendresse, Chantal me prit le visage entre ses mains et m’invita à descendre plus bas, là où mon scaphandrier s’était aventuré. Je descendis et avouons-le, le sexe en feu. Je me mis à genoux face à ma tante entièrement nue qui garda son regard posé sur moi. Délicieusement ou délicatement, elle écarta ses jambes sublimes, me dévoilant ainsi sa source pure. Je marquai un temps d’arrêt, lui caressant l’intérieur de ses cuisses, câlinant la peau lisse de son ventre, effleurant sa poitrine avec ses seins éveillés et enfin, tel un pianiste mes doigts firent une partition le long de son intimité, dont les lèvres si harmonieuses me donnèrent le sentiment d’être face à la définition parfaite du sexe féminin. Je cachai mon émotion face à ma tante, mon cœur battant la chamade. Il est vrai que quelques ...
    ... mois auparavant, j’étais encore puceau alors me retrouver face à ma tante, féline au diable en lui caressant sa fente royale, se laissant faire toute docile m’apparut comme un conte enchanté. Je fus en plein rêve. Chantal fit un léger mouvement du bassin, signifiant le souhait de me voir à l’œuvre. Je stoppai mes caresses gourmandes pour m’allonger face à sa source. Après de multiples baisers déposés de manière éparse, ma langue se fit à son tour scaphandrier. Avant de partir en immersion, je fixai du regard ma belle Chantal. — Tu en profites ! Dit-elle, pas peu fière de voir son neveu admiratif de son corps. — A mort…Répondis-je en débutant la dégustation de ma tante. — Tu aimes me lécher. Dit-elle faussement blasée. Son regard la trahit, en fait elle succombait intérieurement de se savoir autant désirée par un jeune mâle et par la même occasion, flattée de plaire avec sa plastique que je trouvais irréprochable. Force est d’avouer que peu de femmes de 45 ans peuvent se narguer d’afficher de telles mensurations, car garder sa ligne avec 1m70 pour en afficher 54 kg avec des seins en forme de poire, un ventre plat des cuisses au galbe parfait et un cul irrésistible auraient pu faire rougir bon nombre de trentenaires. Et puis il y eut un fait indéniable, faire jouir Chantal alors que j’en avais 18 représenta une sorte de graal absolu, la savoir si réceptive avec moi combla mon égo et la qualité de nos rapports dépassa mes espérances. Mais au fond de moi-même, la voir jouir, se ...