Origines et retrouvailles
Datte: 05/04/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
médical,
fsoumise,
hdomine,
vengeance,
Oral
pénétratio,
f+medical,
fsoumisah,
... travail et m’écrit le soir pour savoir si on peut se voir, elle en a trop envie, ses enfants sont gardés pour la nuit… ses parents ont voulu lui simplifier la reprise du travail. La vie d’Audrey repose maintenant entre mes mains, elle est totalement dépendante de moi à tout point de vue. J’arrive chez elle, elle porte un jean et un t-shirt noir, et elle est parfumée… elle me saute dessus pour m’embrasser, puis me dit : — Ferme les yeux, j’ai une surprise pour toi. Je m’exécute — Vas-y, tu peux ouvrir. J’ouvre les yeux et découvre Audrey en sous-vêtements de dentelle blanche. — Ça te plaît ? Je suis allée l’acheter en sortant du boulot, exprès pour toi !— Tu es superbe… et ça me donne des envies !— J’espère bien… Elle m’entraîne dans la chambre, mais je la retiens et la pousse gentiment vers la table de la cuisine. J’écarte le paquet de courses qui s’y trouve, ainsi que la baguette, et je l’allonge sur la table… je déboutonne lentement mon pantalon et sors mon sexe gonflé. Je descends légèrement son slip au ras des fesses pour dévoiler son sexe, puis je remonte ses jambes sur mes épaules et la pénètre très lentement. Elle est humide et m’accueille en gémissant. — Hmmm, moi qui ne te croyais que romantique… hmmm, j’aime bien aussi ce côté-là de toi… Au bout de quelques minutes, elle me repousse, et se retourne, posant les pieds par terre, et se courbant sur la table, ses fesses offertes avec son slip légèrement descendu… Je l’attrape par la taille et la pénètre plus ...
... sauvagement. Ses cris me laissent entendre qu’elle ne s’en formalise pas… Elle jouit bruyamment, puis se met à genoux pour me sucer, et une fois encore m’avale entièrement… Épuisés, on va prendre une douche, puis nous passons la nuit dans sa chambre… ******************** À 16 h pile, j’ouvre la porte du cabinet. Si Laetitia était là, c’était le feu vert pour de grandes choses, si elle n’était pas là, je devais craindre pour ma réputation, et pour la suite de mon plan. Mais Laetitia est bien là. Elle semble ne pas trop savoir à quoi s’attendre. Elle porte encore une fois une jupe droite moulante noire, un chemisier gris, un collier de perles, un chignon. J’ai l’impression qu’elle a volontairement accentué son côté bourgeoise. — Entrez.— Oui, docteur.— Enlevez votre jupe et votre chemisier.— Oui bien sûr… Elle les retire en les pliant pour les déposer sur le dossier du fauteuil comme à chaque fois. Elle porte aujourd’hui encore un string. Il est noir, très fin, et le soutif est bien sûr assorti. — Donnez-moi votre string ! Elle ne devait pas s’attendre à ce que je sois aussi direct, car elle marque un temps d’arrêt, puis elle se place face à moi et le retire lentement. Elle me le tend. J’ouvre le tiroir de mon bureau, et après avoir inspecté le string, je le range dans mon tiroir que je ferme à clef. — Je vous le rendrai la semaine prochaine.— Oui docteur.— Bien, maintenant j’imagine qu’il vous faut un certificat médical pour la danse, nous allons faire un test d’aptitude. Mettez-vous ...