Origines et retrouvailles
Datte: 05/04/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
médical,
fsoumise,
hdomine,
vengeance,
Oral
pénétratio,
f+medical,
fsoumisah,
... été sollicité il y a quelques années par l’université d’Angers pour un cours d’anatomie. Regardez de ce côté-là. N’hésitez pas à être généreux avec l’université ou son doyen. ******************** Il est 20 h 30, ce vendredi lorsque je sonne chez Audrey Meran. J’ai un jean noir, une chemise blanche et une veste noire également. Elle ouvre la porte, souriante à l’extrême. On s’embrasse et je reconnais son parfum. Elle a également choisi une tenue qui la met un peu plus en valeur. Une jolie robe assez moulante probablement de chez H&M. Je lui tends un bouquet de roses et la bouteille de vin. — Il ne fallait pas pour les fleurs, c’est moi qui dois vous remercier.— Je ne peux pas arriver chez une jolie femme sans un bouquet de fleurs ! En plus, je voulais que vous ne me classiez pas parmi les pauvres types que vous avez évoqués l’autre jour. Elle rougit, et se retourne en quête d’un vase pour me dire sans me regarder : — Vous êtes exclu de cette catégorie depuis la première fois que je vous ai vu.— C’est un grand honneur ! Je détaille la maison : une grande pièce en bas, avec une cuisine ouverte sur un salon rempli de jouets d’enfants. Quelques vêtements sèchent sur un étendoir, quelques magazines « Elle » sur la table basse, et légèrement caché dessous, « Closer ». — Je suis désolée, Sébastien… euh, je peux vous appeler Sébastien ?— Oui et on peut peut-être se tutoyer aussi !— Oui bien sûr, pardon, je suis désolée Sébastien, mais on ne m’a jamais offert de fleurs et je n’ai pas ...
... de vase… Je vais les mettre dans un bocal vide… j’ai honte.— N’ayez pas… euh, n’aie pas honte, c’est moi qui suis confus d’offrir des fleurs sans vase.— Assieds-toi dans le canapé.— Attends, je vais t’aider, dis-moi où je peux trouver des verres, je vais servir le vin. Je sers le vin et nous nous retrouvons tous les deux dans le canapé. Elle semble un peu tendue, et je m’efforce de la mettre à l’aise, en riant. Puis soudain elle me dit : — C’est une grande journée aujourd’hui, j’ai passé un entretien et j’ai enfin trouvé un travail ! Je vais être assistante de direction ! En plus, c’est le boulot le mieux payé que je n’ai jamais eu !— Félicitations, Audrey, c’est une vraie bonne nouvelle ! Ça mérite que je vous embrasse ! Je me penche vers elle pour lui faire la bise, mais nos bouches, comme aimantées se rejoignent et nos langues se mêlent, passionnées. Lorsque nous reprenons notre respiration, elle me dit dans l’oreille : — C’est décidément une belle journée… Puis elle me prend par le bras et m’entraîne dans sa chambre. Elle m’enlève ma veste et déboutonne ma chemise… je lui caresse les cheveux et l’embrasse à nouveau… elle défait ma ceinture et déboutonne mon jean… Elle l’écarte et caresse mon sexe à travers mon boxer. Elle semble prise d’une envie irrépressible… et avant que j’aie eu le temps de réagir, elle descend pour embrasser mon boxer, puis elle baisse mon jean et mon boxer, sort mon sexe qu’elle met dans sa bouche. Elle me suce avec ardeur, mais sans sensualité… Ce ...