1. Une Journée (3)


    Datte: 05/04/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... culotte ma chérie. La sévérité du ton la frappe au menton comme un uppercut. Elle s’exécute en tremblant, totalement soumise. Tu l’as bien dressée la belle ! A chaque fois que je la vois je n’en reviens pas. Commente René comme si la conversation précédente se poursuivait. C’est tout un art, tu sais. Répond le Maître, tout en fermant les bracelets de métal autours des poignets de sa protégée. Les bras tirés en arrière par les liens font exploser le décolleté sous tension de la jeune femme. La guidant alors d’une main ferme, Il la fait mettre à genoux sur le canapé en face des deux autres. D’un geste vif enfin, Il découvre sa lune pâle tout juste barrée par les rubans des jarretelles. Frapper fort et régulièrement, voilà le secret ! Et de gifler la croupe ainsi offerte d’un premier coup en diagonale, tandis que le public s’esclaffe et que la suppliciée laisse échapper un couinement étouffé par les coussins du sofa. Les coups sont rapides et précis, appliqués d’une main sûre et très vite des sanglots étouffés s’échappent de la masse de cheveux brun éparpillés. Lorsqu’enfin la punition s’arrête le giron de la demoiselle se pare d’un grillage vermillon. Elle relève alors doucement la tête laissant l’assistance contempler les rivières noires qui marbrent son visage. Et machinalement, s’agenouille pour déposer un rapide baiser sur la pointe des chaussures de l’homme qui vient de la fouetter tandis que les deux autres ravis applaudissent. Lentement caressée par la main qui vient de ...
    ... la punir, Elle reste ainsi à genoux au pied de son Maître tandis que la conversation des trois hommes échauffés par le spectacle a pris un virage serré pour maintenant s’intéresser aux bienfaits d’une stricte discipline domestique. Elle n’écoute pourtant qu’à moitié, son postérieur brûlant la fait souffrir et Elle ne cesse de changer de position pour calmer cette douleur qu’elle a pourtant souhaitée. En effet, Elle s’en veut d’avoir douté de celui qui la possède. Et malgré la honte de cette punition publique, malgré ces traces mordantes qui lui marquent les fesses Elle est heureuse de sentir dans son amour-propre mortifié et sa chair meurtrie la contrainte rassurante de sa discipline quotidienne. Là, assise sur le tapis à côté de lui, Elle se sent parfaitement à sa place heureuse de mériter les attentions du Maître. Une étincelle de fierté brille dans ses yeux sombres et Elle trouve le courage d’affronter le regard des deux étrangers qui discutent, assis dans les deux fauteuils bleus en face d’elle. L’un après l’autre, ils croisent son regard alors qu’elle relève la tête, et l’ignorent ostensiblement, continuant d’argumenter sur les fondements de l’autorité masculine. Elle n’a cure de cet affront et dévisage sans vergogne les témoins de sa honte notant au passage non sans satisfaction la forme encore vigoureuse de leurs braguettes. Elle voudrait là, maintenant, se jeter sur eux, défaire d’une main sûre ceintures et pantalons, aspirer jusqu’à en perdre haleine leurs semences ...