1. Le patron et sa femme


    Datte: 06/04/2020, Catégories: fh, 2couples, couplus, Collègues / Travail piscine, strip, entrecoup,

    ... danser, nous buvons un peu et quand l’ambiance est suffisamment chaude, Suzanne fait son strip-tease et la suite arrive automatiquement… Nous voilà donc partis sur une scène de théâtre porno, baiser pour émoustiller nos hôtes, jouer à planter son jonc, je rêve, j’hallucine… Je suis occupé à maugréer intérieurement lorsque Pauline invite Suzanne à danser. Très rapidement l’ambiance devient sensuelle, les deux corps ondulent avec grâce et volupté. Le spectacle ne commence pas tout à fait comme annoncé dans le programme. Assis dans nos fauteuils, Jacques et moi, sirotant un gin, sommes très intéressés par ce duo. La beauté de Pauline rayonne dans les bras de Suzanne. Les deux corps se plaquent l’un contre l’autre, seins contre seins, ventre contre ventre, Pauline déboutonne le chemisier de Suzanne, donnant une meilleure vue de sa poitrine et de son soutien-gorge. Ma compagne aimerait faire de même avec la blouse de la femme du patron, la main de Pauline s’interpose, un seul bouton est autorisé. Les deux femmes se séparent, Pauline m’invite à danser, Jacques se lève et s’occupe de Suzanne. Nous tournoyons lentement, serrés l’un contre l’autre, une érection se profile dans mon boxer. Ma cavalière devine mon état, déboutonne calmement ma chemise, me la retire et la jette sur un fauteuil. Je suis aux anges, torse nu contre sa poitrine, les pointes de ses seins, au travers du mince tissu de protection, me transpercent de désirs. J’avance ma main pour libérer les pans de sa blouse. ...
    ... De ses doigts effilés, mais avec fermeté, elle s’oppose à l’inéluctable, seul un deuxième bouton défait laisse entrevoir le paradis. Jacques, de son côté n’est pas en reste, il a "viré" le chemisier. Suzanne arbore fièrement son mini soutien-gorge vert pâle, les seins à l’air pour les deux tiers, leur opulence évidente. La main de "sa" secrétaire caresse l’entrejambe de son patron, aimeraient s’insinuer, là aussi un ferme refus y est opposé. Suzanne, sur un ordre de Jacques ou de sa propre initiative, je ne sais pas, s’éloigne au milieu de la pièce. Le trio restant s’installe dans les fauteuils, le spectacle va commencer. Lentement, au son du blues, en tournant sur elle-même, elle fait descendre une bretelle, puis la deuxième, sur ses bras. Ses deux mains se glissent dans son dos pour dégrafer le soutien-gorge, après un temps qui paraît une éternité, le tissu glisse sur la peau de ses seins. Suzanne s’avance vers nous, dépose le vêtement sur les genoux de Pauline, comme une offrande à la maîtresse des lieux. Elle sort de ses escarpins et, pieds nus, glisse sous la lampe halogène, caressant ses merveilleux obus sous l’éclairage cru, les fait ballotter en se penchant en avant, les étale, inclinée en arrière, jouant avec l’ombre et la lumière, comme le soleil dans un profond canyon. Suzanne nous présente son arrière-train, cul de femme assurée de son succès, le serpent en tatouage nous fait un clin d’œil. Elle fait glisser le pantalon, découvre ses fesses charnues, ses cuisses ...