Initiation d'une jeune bourgeoise - 2 -
Datte: 06/04/2020,
Catégories:
Masturbation
Première fois
... le plaisir que tu me donnes, lui dis je tendrementElle ouvrit ses grands yeux.-- Du plaisir ?-- Oui, tu ne peux pas savoir le bonheur que tu m'apportes.-- Je t'aime , me répondit elle, et j'ai envie que tu le fasses l'amour , là , maintenant.Je ne me le fis pas dire deux fois.Pour moi, les choses allaient dans le bon sens. Camille était de moins en moins pudique quoique toujours sage.Elle prit, durant les semaines qui suivirent, pleinement conscience et possession de son corps.Elle n'hésitait plus, durant nos rapports intimes à se toucher pendant que nous nous aimions.Elle aimait par dessus tout, se masturber frénétiquement pendant que je la prenais en missionnaire, cela lui amenait des orgasmes intenses et elle manifestait sa jouissance avec de plus en plus de volubilité.Ses tenues vestimentaires changèrent de concert.Je la persuadai qu'elle avait un corps superbe, des jambes sublimes, ce qui était vrai .Elle commença à porter des vêtements plus apprêtés et des robes plus courtes et plus échancrées.Elle fut juste fort contrariée que sa mère , lors d'un thé chez mes beaux parents , sermonna vertement devant moi.Je pris sa défense .Elle me rabroua me disant que si Camille était ma femme, elle restait sa fille et que , chez eux , on ne se comportait pas en pute.Je le pris fort mal et nous partîmes sur le champ, Camille en pleurs.L'influence de la douairière devait être encore énorme car la régression fut immédiate.Adieu les jupes courtes, les ...
... chemisiers entre ouverts, les galipettes en pleine lumière.Même sa foufoune repoussa.Elle ne se refusait pas à moi, certes , mais nos rapports redevinrent ceux des débuts de notre union.Je fis de mon mieux pour prendre mon mal en patience, essayant, tant bien que mal, d'engager le dialogue sur ces choses intimes. Rien n'y fit.Camille était refermée comme une belon.Je trouvai quelque réconfort de mes pulsions auprès d'escort girls de luxe de passage.Ces filles , ouvertes, pleines d'imagination ne refusaient aucun de mes caprices pourvu que j'y mette le prix.Si mes sens y trouvèrent à se repaître, ces relations tarifées me laissaient toujours un gout amer.J'envisageai sérieusement de trouver une maîtresse.Certaines femmes de notre entourage, malgré leur paraître, leur condition étaient de formidables assoiffées de sexe, je le savais.Je commençai même à flirter avec quelques unes parce que , si elles sont de véritables salopes au lit, il faut quand même adopter un certain cérémonial pour les y mettre.Deux ou trois d'entre elles, me firent comprendre par leur attitude qu'elles ne seraient pas contre une aventure extra conjugale.Malgré tout, j'hésitai encore à m'embarquer dans une relation de ce type.J'aimai sincèrement Camille et je ne voulais pas qu'elle souffre si, par mégarde, elle venait à le découvrir.Les choses changèrent quand, et je vis là une occasion unique de faire ouvrir les yeux à ma femme, j'appris que ma belle mère avait un amant.