Rencontre sur une aire
Datte: 06/04/2020,
Catégories:
Gay
Première fois
... mes seins. Oui c'est ça, tu te débrouilles très bien.Je malaxai ses lobes rebondis, les écartaient bien comme il faut.Je sentis sa main descendre le long de mon ventre pour se poser sur la boursouflure de mon caleçon qui avait atteint cette tension optimale précédant un rapport sexuel. Je regardais sa main modeler les contours de ma queue.- Et bien, tu es un vrai coquin. Tu es sûr de la vouloir.Je n'attendis pas sa réponse.- Tiens regardes.J'écartai les bords de mon caleçon et elle jaillit à l'air libre. Je vis avec délectation ses yeux s'agrandirent lorsqu'elle apparu en plein jour.- Oh, la vache elle est drôlement grosse.- Oui, c'est vrai elle n'est pas très longue mais large. Tu peux continuer à la caresser.Il ne se fit pas prier. Il enfonça sa main toute entière dans l'ouverture pratiquée. Ses doigts minces serraient maintenant ma queue avec passion me procurant des sensations incroyables, visuelles et cérébrales à la fois.Pendant qu'il me caressait, j'avais saisi sa queue et je le masturbai vigoureusement. Mes doigts calleux devaient irriter sa peau fragile. Il ne se plaignait bien au contraire il m'encourageait par ses mouvements de bassin.On était à point tous les deux. Je pensai à la prochaine bataille, qui allait se jouer, avec un petit pincement au coeur. Je n'étais pas sur de l'emporter.- Tu te souviens de ce que je t'ai dit tout à l'heure. Que j'étais actif et moi ce qui me faisait triper c'est que mon amant me suce et après que je lui mette.Un voile ...
... d'appréhension passa sur son visage. Il marqua un temps d'hésitation.- Oui, je m'en souviens.Il jeta un œil vers ma queue encore en partie coincée dans le caleçon. Déformée par les veines, elle avait l'air d'un gros cep de vigne.- Ça me plairait beaucoup que tu me suces et, je marquais une pause, j'aimerai beaucoup t'enculer après.J'avais volontairement choisi des termes crus et terriblement évocateurs.Je laissai les mots doucement faire leur chemin dans son esprit et devenir des images. Il semblait ailleurs, en proie à une terrible lutte interne. Je le ramenai à la réalité en douceur mais fermement.- Tu la libères.Il fit glisser mon caleçon plus bas, comme un automate. Il la fixait intensément comme hypnotisé. Tendue vers le haut, elle semblait défier les lois de la gravité. Les grosses veines pulsaient doucement. Le gland légèrement découvert laissait sourdre le liquide précoitale, translucide et visqueux. Elle était prête.- Caresses la. Elle te veut.Je regardai ses doigts minces, s'en emparer, en apprécier l'épaisseur, et en flatter délicatement les contours torturés.- Elle est vraiment impressionnante.- Oui c'est vrai. Et c'est pour cette raison, pensai-je que souvent mes partenaires me refusait le plaisir de les pénétrer. Sauf peut-être ceux qui le faisait pour la première fois.Cette pensée me fit durcir un peu entre ses doigts.Comme s'il avait deviné le cours de mes pensées, il continua :- tu as déjà pris des mecs ?- Oui, et ça c'est très bien passé, menti-je, il faut juste être ...