Un gynéco beau gosse - Histoires de Sexe

Un gynéco beau gosse

... remplie de gel lubrifiant et en approchant celle-ci du ventre de ma femme dit à voix haute : — Ah, vu l’état de Mme j’ai pas besoin de gel ! Ma femme devait être trempée, puis il rajoute : — C’est parfait pour nos histoires. Que voulait – il dire ? par « nos histoires ». Je ne voyais pas exactement ce qu’il faisait car une des cuisses de ma femme me gênai mais je voyais les gestes de son bras, je devinais qu’il venait de rentrer un de ses doigts, car ma femme expira fortement. De par les mouvements de son bras je crois qu’il tâtonnait l’intérieur du ventre de ma femme, de plus je ne sais pas si lui les voyait mais moi je distinguais nettement les légères ondulations du ventre de ma femme. Puis il mit son autre bras entre les cuisses de mon épouse, je suis sûr que d’une main il décalottait le clitoris de mon épouse et de l’autre il la branlait. Ma femme avait tourné sa tête de mon côté mais elle avait fermé les yeux, elle soupirait plus fort, et son ventre se décollait de plus en plus du fauteuil. Elle ne cachait plus son plaisir, son bassin faisait des bons en avant comme pour mieux s’empaler sur les doigts de son médecin. Ses doigts s’enfonçaient dans le cuir du fauteuil, on pouvait même distinguer les bruits de clapotis que faisaient les allers retours des doigts du médecin dans son sexe Moi assis dans mon fauteuil, j’étais le témoin de la masturbation médicale de ma femme, je bandais comme jamais, un seul contact de mes doigts sur ma verge aurait suffit à me faire tout ...

... cracher. En plus des mouvements, ma femme haletait sous forme d’expiration très bruyante, son visage était rouge et complètement déformé par le plaisir. Je ne sais ce qu’il faisait dans le ventre de ma femme, mais je peux vous dire que ça lui faisait du bien. — Il faut à tout prix, que l’utérus bascule pour voir qu’est ce qui gène Monsieur. Pour cela, il faut à tout prix que Mme soit dans la même situation d’orgasme.— HMMMPFF, bien sûûûr, Docteur. Murmura ma femme.— -Effectivement, je sens le bout de la queue du stérilet, je pense que ce n’est rien, il n’y a rien de grave voilà c’est fait. Mais je peux pas vos laisser comme ça, car le fait que de s’approcher de l’orgasme sans l’atteindre peut engendrer des spasmes assez douloureux. Alors , il se rapprocha de l’entrejambe de ma femme, posa son avant bras son coude vers le sol sur le bout du fauteuil pour mieux faire des allers retours mais avec des amplitudes vers le haut comme pour essayer de masser l’intérieur de son pubis, son autre bras, coude vers le haut branlait son clitoris comme un homme se branle. En quelques secondes de ce traitement ma femme, perdit pied. Ces cheveux collaient sur ces tempes de transpiration, sa voix se faisait rauque, comme des grognements, ses joues étaient rouge sang. Son corps tremblait, son bassin faisait des bonds, sa peau était grêlée de frissons successifs. Moi dans pantalon, je mouillais tellement que j’ai même eu l’impression d’avoir pissé dans mon caleçon. Les mains de son docteur allaient ...