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Viol organisé (1)
Datte: 07/04/2020, Catégories: Gay
... je me suis dit qu’il ne devait plus s’y attendre et ai décidé de me rendre chez lui vers minuit. De la rue, je voyais qu’il faisait noir dans son appartement et je suis donc rentré chez lui discrètement. Pas un bruit, pas une lueur. Je retire déjà ma veste et mes chaussures. Je me dirige vers la chambre. Il est là couché, dormant profondément, complètement nu comme je l’avais exigé. Doucement, je prends ses mains et les amène l’une sur l’autre dans son dos et les attache l’une à l’autre avec des Colson que j’avais emmené. Il ne bouge toujours pas. Je prends alors l’écharpe que j’ai amenée pour lui bander les yeux. Au moment de serrer autour de son visage, je sens qu’il ne dort plus complètement. Je baisse alors mon pantalon et lui dit à l’oreille "Voilà petite pute, l’heure de ton viol est arrivée". Il s’éveilla tout à coup, s’agita, je mis directement ma main sur sa bouche pour l’empêcher de crier. Il est revenu à lui et a compris que son heure était arrivée. J’ai desserré ma main et lui ai mis directement ma queue en bouche. Il a commencé à me pomper plutôt correctement, on sentait malgré tout une peur dans son attitude mais était plutôt appliqué. Je lui enfonçais ma queue bien profondément jusqu’à ce qu’il s’étouffe. Pendant ce temps, je m’occupais déjà de dilater son cul avec mes doigts bien appliqués. J’ai vite compris qu’en effet c’était une bonne lope parce qu’il n’a pas fallu longtemps avant que ce trou ne réclame que je le baise. Ni une ni deux, j’ai transféré ma ...
... queue de sa bouche vers son cul et d’un grand coup sec, je lui ai enfoncé ma bite bien profondément, il a crié de douleur. J’ai ensuite commencé à lui pilonner le cul dans un va et vient de plus en plus puissant et vigoureux. Il gémissait de plus en plus fort. On sentait qu’il aimait ça. Je dois bien reconnaître que cette situation m’excitait beaucoup et je sentais la sauce monter bien trop vite. Je me suis retiré, ai enlevé la capote rapidement et lui ai déversé tout mon jus bien chaud au fond de sa gorge. Il a avalé d’une traite. Déçu d’être venu si vite, je lui dis qu’il va maintenant se lever, garder les yeux bandés et ses mains attachées et que je vais l’emmener au salon. Je m’installe dans son divan et le pousse à côté de moi. Je lui dis d’utiliser sa bouche pour me faire bander à nouveau. Il s’est mis en position pour y accéder aisément. Il a fallu un quart d’heure pour que ses efforts ne fassent leur effet. Je lui fais remarquer qu’il est sur la bonne voie pour remettre le couvert. A entendre ça, il s’applique de plus en plus pour bien pomper mon gros dard redevenu tendu et bien dur. On sent que cette lope a de l’expertise en la matière, putain ! Je décide de le positionner à quatre pattes sur le divan et de le prendre en levrette. Son cul est resté béant de la précédente baise et il accueille ma queue directement sans le moindre mal. Je commence à le baiser à nouveau. Cette fois, la baise a quand même duré près d’une demi-heure, il a eu droit à une dizaine de positions ...