1. Garçons du Hoggar


    Datte: 07/04/2020, Catégories: hh, jeunes, couleurs, hépilé, vacances, vidéox, photofilm, massage, Oral confession, Gay nature,

    ... un fond de panique, de peur et de pudeur m’a retenu d’aller tout de suite plus loin. Comme son short me gênait dans mes mouvements, je lui ai demandé s’il pouvait le baisser un peu plus. Il l’a enlevé. Même si son sexe était de belle taille, long et bien dimensionné à la base, il n’était pas en érection, et là encore j’ai douté des goûts de Gauthier. J’adore masser. Je le fais avec ma mère, avec mes sœurs, parfois je l’ai fait avec des copains, et tous me répètent que je masse bien. Alors je me suis efforcé de bien faire le boulot. J’étais en short, torse nu, assis à califourchon sur lui. Gauthier gémissait de plaisir en me disant régulièrement que je lui faisais un bien fou. J’aimais bien sa façon raffinée de parler. Mes mains descendaient le long de son dos, épousant la colonne vertébrale et pénétrant doucement chaque creux. Toutefois, estimant que Gauthier pouvait penser raisonnable le temps passé sur le dos, je me suis concentré sur ses fesses. Il les avait très musclées, et à sa façon de répondre à mes impulsions, j’ai rêvé que… Ben non, il n’a rien dit. Il s’est redressé. Son sourire était bien ambigu, mais je n’avais aucune certitude, et toujours cette peur. — Allez, à ton tour ! a-t-il dit. On va bientôt nous appeler pour manger. Je me suis mis nu à mon tour, et il n’a pas pu manquer de voir l’état d’érection maximale dans lequel je me trouvais. Et même s’il a souri en voyant mon sexe bandé, même si j’ai répondu à son sourire en espérant qu’il dise quelque chose de ...
    ... très direct, il n’a rien dit. C’est toujours comme ça. Toutefois, alors qu’il me massait, j’ai senti son sexe également bien dur qui parfois venait buter contre mes fesses. L’émotion qui m’a saisi à ce moment ! Sans doute attendait-il un signe plus direct de ma part… Il n’aurait pas fallu grand-chose… Mais ma timidité bloquait toute initiative. Ses mains étaient douces et son massage était très agréable. Toutefois, l’appel de Mohammed, notre guide, à venir manger, nous a forcés à nous rhabiller illico. Je pense qu’on était sans doute aussi frustrés l’un que l’autre, aussi en colère l’un que l’autre contre nos stupides inhibitions. Au repas, même si Gauthier et moi étions assis l’un à côté de l’autre, nous avons rarement parlé ensemble. Une petite gêne s’était installée. Tout à l’heure, ni l’un ni l’autre n’avait essayé de forcer la situation, et notre problème restait pour l’un comme pour l’autre entier. Je me serais giflé d’être aussi con. Après les traditionnelles trois tasses de café, je me suis levé et me suis éloigné du bivouac, avec pour but de fumer une clope, pisser un coup, me caler quelque part avec mes émotions et ma connerie, et voir si mon portable captait quelque chose. Des fois, nous a dit Mohammed, en levant les mains, des fois, ça passe… Tu parles ! J’ai marché un bon moment sans but. Dans cette partie du Hoggar, s’isoler n’est vraiment pas difficile. Je me suis éloigné de huit cents mètres environ. Plus un bruit ne parvenait à mes oreilles. Évidemment, le ...