De l'éjaculation
Datte: 08/04/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
inconnu,
intermast,
Oral
pénétratio,
uro,
humour,
... été émerveillé de la trouver humide sous mes doigts ; cette découverte du désir féminin, alors que je pensais commettre un outrage, avait véritablement changé ma vie. Dès lors, je n’avais cessé de rêver à cet instant magique. « Rien n’est plus rassurant que le désir mouillé salé d’une femme », ai-je pu lire récemment, quoi de plus vrai ? Voilà sans doute pourquoi je ne pouvais me lasser de caresser le sexe de Géraldine par-dessus sa culotte ; sentir le tissu s’humidifier et s’immiscer dans sa fente, deviner le renflement du clitoris et le gonflement de ses lèvres, tout cela me faisait littéralement flotter. Pendant ce temps, elle avait saisi ma verge, et me masturbait avec délicatesse. — C’est par où, ta chambre ? finis-je par lui demander. Sans me répondre, et sans suspendre ses caresses, elle m’entraîna en reculant et titubant vers une porte qu’elle ouvrit d’une main passée vivement dans son dos. Je découvris d’un regard une petite chambre, minuscule à vrai dire, un peu en désordre, dans laquelle il n’y avait guère de place que pour son lit - une personne - une table de chevet, et une commode. À force de reculer, Géraldine buta sur son lit et se retrouva assise. Sans perdre un instant, elle prit mon pénis et mes bourses entre ses mains, regarda mon attirail d’un air convaincu, et commença à me prodiguer quelques petits baisers furtifs. Puis, elle fit courir sa langue le long de mon pénis, et le prit dans sa bouche. J’étais cloué au sol et commençais à haleter d’une façon ...
... inquiétante. — Grégoire, dit-elle en s’interrompant, prenez garde, je vous rappelle pourquoi nous sommes ici. Elle continuait à me vouvoyer, par jeu sans doute. Je me dérobai et m’agenouillai entre ses jambes. Elle bascula en arrière, sur son lit, les pieds reposants à demi sur le sol. J’avançai ma tête vers les senteurs poivrées de son sexe. — Je n’ai pas oublié, répondis-je. On pourrait même préciser un peu les règles du jeu, qu’en pensez-vous ? En disant cela, je frottai mon nez contre le tissu de sa culotte, et commençai à la taquiner avec ma langue. — Oui… soupira-t-elle. Dans un doute délicieux, je n’aurai su dire si ce « oui » exalté était un début de réponse à ma question, ou un soupir d’encouragement à mes caresses. — Oui quoi ?— Oui… il faut définir les règles ; c’est très simple : vous éjaculerez quand je l’aurai décidé, et vous aurez perdu.— Vraiment ? En disant cela, j’écartai le côté de sa culotte pour enfin la toucher à même la peau. Merveille des merveilles ! Un coulis de miel tiède sous ma langue, une petite boule lisse sous mon pouce, un duvet frisottant sur ma joue… — Oui, vous aurez perdu, perdu, perdu… continua-t-elle avec difficulté, alors que j’écartais les pans de ses lèvres intimes pour observer son clitoris à loisir.— Vraiment ?— Oh ! soupira-t-elle brusquement en se cambrant, lorsque l’extrémité de ma langue titilla l’extrémité de son petit bourgeon.— Et si vous jouissez avant moi, Géraldine, qui aura gagné ? J’aimais lui parler tout en la caressant. ...